René Crevel modifier

Pour l’homme, se trahir, c’est démanteler les forteresses des coutumières prudences, c'est, afin de les rendre au mouvement, libérer des préjugés qui la cuirassent et des bandelettes qui la momifient, la réalité si prompte à se surpasser, se surmonter, à apparaître en voie de surréalité.
  • « Note en marge du jeu de la vérité », René Crevel, Documents 34, nº 20, Avril 1934, p. 22