Alain Soral
essayiste, éditeur, idéologue d'extrême droite et chef d’entreprise franco-suisse
Il a été demandé de vérifier cet article | |
Il a été demandé de vérifier cet article, à cause d'un problème lié soit à la forme de l'article (style, orthographe…), soit au fond de l'article (validité des informations, neutralité…). Vous êtes invité à venir en discuter et l'améliorer. Si vous venez d'apposer le bandeau, veuillez cliquer sur ce lien pour créer la discussion. |
Alain Soral (né en 1958) est un écrivain, essayiste et journaliste d'extrême droite français. Il défend des idées antisémites, négationnistes, conspirationnistes, sexistes, masculinistes et homophobes.
Art
modifierLa bohême a disparu […]. Aujourd'hui les artistes crèvent en banlieue dans des chambres de bonnes au bord du suicide et les décideurs sont entre eux avec des putes ukrainiennes à s'arroser de champagne.
- Alain Soral, Ce soir (ou jamais !), France 3, 4 décembre 2007
Religion
modifierLe pape
modifierJe remarque que les champions de la différence, ils ne tolèrent que la leur, c'est-à-dire que ne pas comprendre que le pape ne peut pas faire la pub pour la capote parce qu'il a voué sa vie au Christ et qu'il incarne des valeurs (qu'on peut contester)... On voit pas pourquoi d'un seul coup, ça deviendrait un apologète du safer sex stakhanoviste gay.
- Alain Soral, Tout le monde en parle, France 2, 22 mars 2003
Sexualité
modifierLes gays
modifierLes dissidents, par exemple les mecs qui sont dans le barebacking, qui disent nous on veut toujours être subversifs, on ne se réclame pas de Mylène Farmer mais de Jean Genet (...), ces gens-là ils se font matraquer par Act-Up en disant : nous, la milice communautaire, on fait la propagande pour l'extérieur, c'est-à-dire que les gays sont tous des petits bourgeois consommateurs qui vont dans les fromageries du Marais en duffle coat en petits couples, c'est-à-dire des bourgeois, et puis ceux qui veulent vivre encore une espèce de transgression, ils se font casser par les petits Torquemada du mouvement gay, les petits Frollo, parce qu'en plus, ces mecs-là passent tellement de temps à emmerder les hétéros qu'ils oublient même de baiser, c'est-à-dire qu'à un moment donné on va dire : vous êtes même plus pédés depuis le temps que vous baisez plus, vous n'êtes plus rien finalement, vous êtes juste des flics.
- Alain Soral, Tout le monde en parle, France 2, 22 avril 2004
Politique
modifierQuant à l'inutile débat sur l'innocence ou la culpabilité du petit capitaine-alibi, il fallait forcément que Dreyfus fût innocent pour qu'il y ait "affaire"; puisque si Dreyfus avait été juif et coupable, le monde n'en aurait pas plus entendu parler que s'il avait été innocent, mais breton.
- Comprendre l'empire, Alain Soral, éd. éditions blanche, 2011, p. 165
Sur Staline
modifierOncle Joe ? Ben moi je me rappelle quand j'avais lu les mémoires d'Errol Flynn qui racontait qu'il était dans un pays des Caraïbes, où un méchant blanc frappait un petit coolie qui portait les paquets, et le petit coolie avait dit : « Tu verras un jour Oncle Joe te punira ! », je me suis dit « il y a beaucoup de prolos humiliés qui un jour ont pensé qu'Oncle Joe allait peut-être leur apporter un monde meilleur et donc je là n'ai aucun mal à dire du bien d'oncle Joe. »
- Alain Soral, Tout le monde en parle, France 2, 22 avril 2004
Sur le nationalisme
modifierSeul le nationalisme possède les fondamentaux pour incarner une véritable alternative économique et sociale […] à la déferlante mondialiste et ultra libérale. […] Je pense que si Marx était vivant aujourd'hui il appellerait à voter Jean-Marie Le Pen, […] [le Front national, qui] agrège des ouvriers, des petits patrons, des artisans [est] le parti du peuple [et porte] l'esprit de la Commune.
- Alain Soral, le 6 février 2007, au Salon panoramique du Concorde Lafayette, Paris, dans Pour l'écrivain Alain Soral, rallié au FN, « Marx voterait aujourd'hui Le Pen », Le Monde, paru le 7 février 2007, Christiane Chombeau.
Sur Oussama Ben Laden
modifierUn mec qui avait le choix entre tirer des putes à Marbella avec tous ses cousins et jouer au casino, qui a pris une voie où il risque la mort tous les jours. […] Malheureusement, j’ai peur que Ben Laden n’existe pas plus que Lara Croft, j’ai peur que ce soit une création de la CIA.
- Alain Soral, Tout le monde en parle, France 2, 22 avril 2004