La loi fédérale sur l'AVS est votée le et approuvée en votation populaire le par près de 80 % des voix. Elle est par la suite harmonisée et coordonnée avec la loi fédérale sur l'assurance-invalidité adoptée en 1959. Une série d'ordonnances, la plus importante étant le règlement sur l'assurance-vieillesse et survivants, la précise.
À partir du , date de son entrée en vigueur, cette législation subit de nombreuses modifications. Jusqu'en 1974, l'évolution de l'AVS est le reflet assez exact de l'essor économique de l'après-guerre. L'AVS a été soumise entre 1975 et 2008 à dix révisions proprement dites et à trois révisions de loi de moindre importance. Une onzième révision est en discussion en 2009.
La Confédération paie au total chaque année près de 5 milliards de francs pour l’asile et l’aide au développement. C’est plus qu’elle ne dépense pour la sécurité des personnes en Suisse et même deux fois plus que ce que coûte l’agriculture de notre pays. A cela s’ajoute encore le deuxième milliard de cohésion pour l’UE, qui doit être suivi par d’autres.
En bref, la Suisse paie toujours plus pour l’étranger et l’assistance des migrants sociaux du monde entier. Parallèlement, l’argent fait défaut chez nous pour garantir les rentes AVS de la classe moyenne laborieuse, qui doit payer, via ses impôts et ses déductions salariales, les sommes généreuses versées à l’étranger et pour l’asile. (…) Nous voulons assurer les rentes AVS sans nouveaux impôts ou taxes. C’est la raison pour laquelle l’aide à l’asile et au développement doit être réduite de un milliard de francs au moins par année au profit de l’AVS.
A propos du financement de l'Assurance-vieillesse et survivants
Pour l’UDC, l’objectif est et reste l’assurance du financement à long terme de l’AVS, et ce, pour tous les citoyens et toutes les générations. Il serait judicieux dans un premier temps de fixer le même âge de la retraite pour les hommes et les femmes. Il s’agirait ensuite de faire en sorte que l’argent de l’AVS ne s’immisce pas dans le budget de l’Etat. Il faudrait enfin que les aides extérieures inutiles soient réinvesties. Au lieu de gaspiller des milliards en faveur des pays de l’Est, on ferait mieux d’investir cet argent dans la prévoyance vieillesse.
A propos du financement de l'Assurance-vieillesse et survivants