Camara Nangala
écrivain ivoirien
Camara Nangala est un écrivain ivoirien né à Katiola (Côte d'Ivoire) le .
Le Printemps de la liberté, 1999
modifierIl suffit d’un brin de volonté et d’effort pour renverser la vapeur.
- Le Printemps de la liberté, Camara Nangala, éd. Calao Editions et Frat Mat Editions, coll. « Baobab », 2010 (ISBN 978-2-84948-159-2), chap. 2, p. 39
La fiction s’inspire, sort, procède du réel qu’elle corrige et adapte au gré des fantasmes et des lubies de son auteur.
- Le Printemps de la liberté, Camara Nangala, éd. Calao Editions et Frat Mat Editions, coll. « Baobab », 2010 (ISBN 978-2-84948-159-2), chap. 6, p. 165
Un homme qui pleure, un homme qui souffre n’est pas un ours qui danse.
- Le Printemps de la liberté, Camara Nangala, éd. Calao Editions et Frat Mat Editions, coll. « Baobab », 2010 (ISBN 978-2-84948-159-2), chap. 9, p. 233
A qui saute et tombe dans le feu, il reste à faire un deuxième saut.
- Le Printemps de la liberté, Camara Nangala, éd. Calao Editions et Frat Mat Editions, coll. « Baobab », 2010 (ISBN 978-2-84948-159-2), chap. 10, p. 263
L’arbre ne peut s’associer au vent et au froid pour faire tomber le fruit vert.
- Le Printemps de la liberté, Camara Nangala, éd. Calao Editions et Frat Mat Editions, coll. « Baobab », 2010 (ISBN 978-2-84948-159-2), chap. 10, p. 271
Le pouvoir rend fou, le pouvoir absolu rend absolument fou.
- Le Printemps de la liberté, Camara Nangala, éd. Calao Editions et Frat Mat Editions, coll. « Baobab », 2010 (ISBN 978-2-84948-159-2), chap. 11, p. 363
Manger une mangue ne saurait signifier s’approprier le manguier encore moins l’emporter.
- Le Printemps de la liberté, Camara Nangala, éd. Calao Editions et Frat Mat Editions, coll. « Baobab », 2010 (ISBN 978-2-84948-159-2), chap. 10, p. 300
Un peuple qui ignore son histoire, est un peuple qui ne sait pas où il va.
- Le Printemps de la liberté, Camara Nangala, éd. Calao Editions et Frat Mat Editions, coll. « Baobab », 2010 (ISBN 978-2-84948-159-2), chap. 9, p. 233
Autres temps ! autres mœurs !
- Le Printemps de la liberté, Camara Nangala, éd. Calao Editions et Frat Mat Editions, coll. « Baobab », 2010 (ISBN 978-2-84948-159-2), chap. 8, p. 226
L’herbe qui tue la gazelle se trouve sous son sabot.
- Le Printemps de la liberté, Camara Nangala, éd. Calao Editions et Frat Mat Editions, coll. « Baobab », 2010 (ISBN 978-2-84948-159-2), chap. 9, p. 231
L’intuition féminine saisie parfois l’insaisissable de façon inattendue.
- Le Printemps de la liberté, Camara Nangala, éd. Calao Editions et Frat Mat Editions, coll. « Baobab », 2010 (ISBN 978-2-84948-159-2), chap. 9, p. 229
L’amour ne s’accommode ni de rancœur, ni de vanité ; l’amour est tout d’humilité, de compromis, de don de soi.
- Le Printemps de la liberté, Camara Nangala, éd. Calao Editions et Frat Mat Editions, coll. « Baobab », 2010 (ISBN 978-2-84948-159-2), chap. 6, p. 139
La vie est combat, combat de tous les instants.
- Le Printemps de la liberté, Camara Nangala, éd. Calao Editions et Frat Mat Editions, coll. « Baobab », 2010 (ISBN 978-2-84948-159-2), chap. 8, p. 210
La souveraineté d’un peuple se mesure à sa capacité d’en imposer directement ou indirectement aux autres peuples.
- Le Printemps de la liberté, Camara Nangala, éd. Calao Editions et Frat Mat Editions, coll. « Baobab », 2010 (ISBN 978-2-84948-159-2), chap. 4, p. 97
L’écriture est un sacerdoce, un acte de foi, foi en la vie et en l’avenir.
- Le Printemps de la liberté, Camara Nangala, éd. Calao Editions et Frat Mat Editions, coll. « Baobab », 2010 (ISBN 978-2-84948-159-2), chap. 6, p. 158
Le corps d’un être humain est plein de sang, mais sa salive est blanche.
- Le Printemps de la liberté, Camara Nangala, éd. Calao Editions et Frat Mat Editions, coll. « Baobab », 2010 (ISBN 978-2-84948-159-2), chap. 5, p. 112
La vie est trop courte pour ne pas la mettre à profit.
- Le Printemps de la liberté, Camara Nangala, éd. Calao Editions et Frat Mat Editions, coll. « Baobab », 2010 (ISBN 978-2-84948-159-2), chap. 5, p. 117
Le pot en terre ne peut prétendre dicter sa loi à la pierre.
- Le Printemps de la liberté, Camara Nangala, éd. Calao Editions et Frat Mat Editions, coll. « Baobab », 2010 (ISBN 978-2-84948-159-2), chap. 3, p. 67
Une conscience en état de siège, rabaisse l’individu qui en est le porteur à l’état de chose.
- Le Printemps de la liberté, Camara Nangala, éd. Calao Editions et Frat Mat Editions, coll. « Baobab », 2010 (ISBN 978-2-84948-159-2), chap. 4, p. 78
L’injustice est le premier des désordres.
- Le Printemps de la liberté, Camara Nangala, éd. Calao Editions et Frat Mat Editions, coll. « Baobab », 2010 (ISBN 978-2-84948-159-2), chap. 4, p. 78
Le matin, la bouche exhale une haleine fétiche, mais la parole qui en procède est féconde.
- Le Printemps de la liberté, Camara Nangala, éd. Calao Editions et Frat Mat Editions, coll. « Baobab », 2010 (ISBN 978-2-84948-159-2), chap. 4, p. 82
Quiconque est sous la pluie, ne craint pas de se mouiller les pieds en traversant la rivière.
- Le Printemps de la liberté, Camara Nangala, éd. Calao Editions et Frat Mat Editions, coll. « Baobab », 2010 (ISBN 978-2-84948-159-2), chap. 4, p. 91
La force et le cynisme sont les clés de voûte de toute relation.
- Le Printemps de la liberté, Camara Nangala, éd. Calao Editions et Frat Mat Editions, coll. « Baobab », 2010 (ISBN 978-2-84948-159-2), chap. 4, p. 94
La morale et l’éthique sont l’apanage des faibles.
- Le Printemps de la liberté, Camara Nangala, éd. Calao Editions et Frat Mat Editions, coll. « Baobab », 2010 (ISBN 978-2-84948-159-2), chap. 4, p. 94
Il est de bonne politique de se concilier les préjugés favorables, lorsqu’on s’engage dans l’inconnu.
- Le Printemps de la liberté, Camara Nangala, éd. Calao Editions et Frat Mat Editions, coll. « Baobab », 2010 (ISBN 978-2-84948-159-2), chap. 4, p. 88
La dernière chance, 2007
modifierSi les hommes vont à l’école, sans que le monde ne s’effondre, pourquoi veux-tu que l’instruction de la femme entraine le péril de l’humanité ?
- La dernière chance, Camara Nangala, éd. Calao Editions, 2007, p. 12
L’évolution commande aux femmes de désobéir désormais à leurs maris.
- La dernière chance, Camara Nangala, éd. Calao Editions, 2007, p. 13
Il est bien sot, celui qui cache le fond du pantalon troué à l’aiguille..
- La dernière chance, Camara Nangala, éd. Calao Editions, 2007, p. 19
L’ignorance entraine la peur qui enfante elle-même l’intolérance et le rejet des autres.
- La dernière chance, Camara Nangala, éd. Calao Editions, 2007, p. 31
La vraie misère de l’être humain est de manquer d’amour, parce qu’il ne sait pas aimer.
- La dernière chance, Camara Nangala, éd. Calao Editions, 2007, p. 62
La mémoire des hommes est courte, très courte ; trop courte, quand ils veulent faire preuve de mauvaise foi.
- La dernière chance, Camara Nangala, éd. Calao Editions, 2007, p. 74
Les hautes herbes peuvent cacher la pintade, mais elles ne peuvent étouffer ses cris.
- La dernière chance, Camara Nangala, éd. Calao Editions, 2007, p. 85