Faustine Kowalska

Faustine Kowalska, ou sainte Faustine, est une polonaise née à Głogowiec le 25 août 1905, morte à Cracovie le 5 octobre 1938. Elle est une religieuse catholique de la congrégation de Notre-Dame de la Miséricorde, et fut surnommée « l'apôtre de la Miséricorde divine ».

Citations de sainte Faustine modifier

le Petit Journal modifier

Par la souffrance, l'âme devient semblable au Sauveur, dans la souffrance, l'amour se cristallise.

Petit Journal, Faustine Kowalska (trad. sous la direction de l'apostolat de la Miséricorde divine), éd. Éditions du Dialogue, 1997, premier cahier, p. 43

Jésus me répondit : « [...]Il n'y a qu'un prix par lequel on rachète les âmes − et c'est la souffrance unie à ma souffrance sur la croix. »

Petit Journal, Faustine Kowalska (trad. sous la direction de l'apostolat de la Miséricorde divine), éd. Éditions du Dialogue, 1997, premier cahier, p. 147

{{[...] Il y a trois degrés dans l'accomplissement de la volonté divine : le premier, quand l'âme accomplit tout ce qui est extérieurement contenu dans les ordres et les statuts ; le second, quand l'âme suit les inspirations intérieures et les accomplit ; le troisième, quand l'âme abandonnée à la volonté de Dieu, Lui laisse la liberté de disposer d 'elle et que Dieu fait d'elle ce qui Lui plaît, elle est un instrument docile dans sa main.}}

Petit Journal, Faustine Kowalska (trad. sous la direction de l'apostolat de la Miséricorde divine), éd. Éditions du Dialogue, 1997, premier cahier, p. 189

Le silence est un glaive dans le combat spirituel, une âme bavarde n'arrivera jamais à la sainteté. Le glaive du silence coupera tout ce qui voudrait s'attacher à l'âme.

Petit Journal, Faustine Kowalska (trad. sous la direction de l'apostolat de la Miséricorde divine), éd. Éditions du Dialogue, 1997, premier cahier, p. 199

J'ai compris à un certain moment, combien déplaît à Dieu une action qui peut paraître louable, mais qui n'est pas inspirée par une intention pure.

Petit Journal, Faustine Kowalska (trad. sous la direction de l'apostolat de la Miséricorde divine), éd. Éditions du Dialogue, 1997, premier cahier, p. 202

L'amour seul a un sens, il donne à nos plus petites actions les dimensions de l'infini.

Petit Journal, Faustine Kowalska (trad. sous la direction de l'apostolat de la Miséricorde divine), éd. Éditions du Dialogue, 1997, premier cahier, p. 206

Dieu enveloppe d'un amour ineffable l'âme qui vit de sa volonté.

Petit Journal, Faustine Kowalska (trad. sous la direction de l'apostolat de la Miséricorde divine), éd. Éditions du Dialogue, 1997, deuxième cahier, p. 241

Ô mon Jésus, je sais que tu agis avec nous de la même manière que nous agissons avec le prochain.

Petit Journal, Faustine Kowalska (trad. sous la direction de l'apostolat de la Miséricorde divine), éd. Éditions du Dialogue, 1997, deuxième cahier, p. 267

Aujourd'hui j'ai été dans les gouffres de l'enfer,introduite par un ange. C'est un lieu de grands supplices, et son étendue est terriblement grande. Genres de supplices que j'ai vu : le premier supplice qui fait l'enfer, c'est la perte de Dieu ; le deuxième, les perpétuels remords ; le troisième, le sort des damnés ne changera jamais ; le quatrième supplice, c'est le feu qui va pénétrer l'âme sans la détruire, c'est un terrible supplice, car c'est un feu purement spirituel, allumé par la colère de Dieu ; le cinquième supplice, ce sont les ténèbres continuelles, une terrible odeur étouffante et malgré les ténèbres, les démons et les âmes damnées se voient mutuellement et voient tout le mal des autres et le leur ; le sixième supplice, c'est la continuelle compagnie de satan ; le septième supplice, un désespoir terrible, la haine de Dieu, les malédictions, les les blasphèmes.

Petit Journal, Faustine Kowalska (trad. sous la direction de l'apostolat de la Miséricorde divine), éd. Éditions du Dialogue, 1997, deuxième cahier, p. 279

J'ai compris qu'il faut faire très attention aux inspirations intérieures et les suivre fidèlement, et la fidélité à une grâce en amène d'autres.

Petit Journal, Faustine Kowalska (trad. sous la direction de l'apostolat de la Miséricorde divine), éd. Éditions du Dialogue, 1997, deuxième cahier, p. 285

Je comprends bien, ô mon Jésus, que comme la maladie se mesure avec un thermomètre et qu'une forte fièvre nous indique la gravité de la maladie, ainsi dans la vie spirituelle, la souffrance est le thermomètre qui mesure l'amour de Dieu dans l'âme.

Petit Journal, Faustine Kowalska (trad. sous la direction de l'apostolat de la Miséricorde divine), éd. Éditions du Dialogue, 1997, deuxième cahier, p. 291

L'amour est un mystère qui transforme tout ce qu'il touche en des choses belles et agréables à Dieu.

Petit Journal, Faustine Kowalska (trad. sous la direction de l'apostolat de la Miséricorde divine), éd. Éditions du Dialogue, 1997, deuxième cahier, p. 323

L'âme éprise de Dieu et plongée en Lui va à son devoir dans les mêmes dispositions qu'à la sainte communion.

Petit Journal, Faustine Kowalska (trad. sous la direction de l'apostolat de la Miséricorde divine), éd. Éditions du Dialogue, 1997, deuxième cahier, p. 324

Satan peut se dissimuler sous le manteau de l'humilité, mais il ne sait pas se revêtir du manteau de l'obéissance.

Petit Journal, Faustine Kowalska (trad. sous la direction de l'apostolat de la Miséricorde divine), éd. Éditions du Dialogue, 1997, deuxième cahier, p. 338

La patience, l'oraison et le silence, voilà ce qui fortifie l'âme.

Petit Journal, Faustine Kowalska (trad. sous la direction de l'apostolat de la Miséricorde divine), éd. Éditions du Dialogue, 1997, deuxième cahier, p. 340

Jésus : « Quand l'âme s'approche de moi avec confiance, je la comble de tant de grâces, qu'elle ne peut les contenir toutes et qu'elle rayonne sur les autres âmes. »

Petit Journal, Faustine Kowalska (trad. sous la direction de l'apostolat de la Miséricorde divine), éd. Éditions du Dialogue, 1997, troisième cahier, p. 376

Le noyau de l'amour, c'est le sacrifice et la souffrance. La vérité porte une couronne d'épines.

Petit Journal, Faustine Kowalska (trad. sous la direction de l'apostolat de la Miséricorde divine), éd. Éditions du Dialogue, 1997, troisième cahier, p. 380

Nous ressemblons le plus à Dieu lorsque nous pardonnons à notre prochain.

Petit Journal, Faustine Kowalska (trad. sous la direction de l'apostolat de la Miséricorde divine), éd. Éditions du Dialogue, 1997, troisième cahier, p. 390

Lorsque j'hésite sur la conduite à tenir, j'interroge toujours l'amour, c'est lui qui me conseille le mieux.

Petit Journal, Faustine Kowalska (trad. sous la direction de l'apostolat de la Miséricorde divine), éd. Éditions du Dialogue, 1997, cinquième cahier, p. 451

J'ai appris que toute âme voudrait les joies divines, mais elle ne veut en aucune mesure renoncer aux joies humaines, et là cependant ces deux choses ne peuvent en aucune mesure s'accorder.

Petit Journal, Faustine Kowalska (trad. sous la direction de l'apostolat de la Miséricorde divine), éd. Éditions du Dialogue, 1997, cinquième cahier, p. 475

Jésus : « Mon enfant, sache que les plus grands obstacles à la sainteté sont le découragement et l'inquiétude dénuée de fondement, elle t'enlève la possibilité de t'exercer à la vertu. »

Petit Journal, Faustine Kowalska (trad. sous la direction de l'apostolat de la Miséricorde divine), éd. Éditions du Dialogue, 1997, cinquième cahier, p. 493

Ô Jésus, inconcevable beauté, c'est avec les âmes pures que tu t'entends le mieux, car elles seules sont capables d'héroïsme et de sacrifice.

Petit Journal, Faustine Kowalska (trad. sous la direction de l'apostolat de la Miséricorde divine), éd. Éditions du Dialogue, 1997, cinquième cahier, p. 518

Jésus : « parce que tu es une enfant, tu resteras près de mon cœur ; ta simplicité m'est plus agréable que les mortifications.»

Petit Journal, Faustine Kowalska (trad. sous la direction de l'apostolat de la Miséricorde divine), éd. Éditions du Dialogue, 1997, sixième cahier, p. 532

« Écris : Je suis trois fois saint, et j'ai du dégoût pour le plus petit péché. »

Petit Journal, Faustine Kowalska (trad. sous la direction de l'apostolat de la Miséricorde divine), éd. Éditions du Dialogue, 1997, sixième cahier, p. 566