Flic ou Voyou
Flic ou Voyou est un film de Georges Lautner sorti sur les écrans en 1979. Les dialogues sont de Michel Audiard
Citations
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- Citation choisie pour le 30 mai 2011.
- Borovitz propose à Musard de libérer Achille de taule.
- Borovitz raquette Achille.
Répliques
modifierMusard : Hein ?
Commissaire Borowitz : J'ai dit à poil !
Commissaire Borowitz : Ce n'est pas ma voiture !
Edmonde : (La voiture de Musard explose) Mais... les...
Commissaire Borowitz : Au gendarme et voleur. Je joue une mi-temps dans chaque camp.
Achille : Si on bouffe plus de croissant, Monsieur le Principal, on se tapera des biscottes, on se fera une raison.
Grimaud : Tu sais mon petit Théo que les Corses plastiquent tes Marseillais, et tes Marseillais emplafonnent éventuellement les Corses. On ne peut pas vraiment appeler cela du désordre !
- Citation choisie pour le 23 avril 2009.
Borowitz : Tu parles qu'elle a changé ! Le commissaire Bertrand, pourri jusqu'à l'os, se fait descendre par les inspecteurs Rey et Massard, également pourris jusqu'à l'os et également payés par Achille qui, lui, une justice à lui rendre, n'appartient pas à l'administration.
Commissaire Borowitz : Écoute ma petite fille, on t'a autorisé à reprendre des fraises. Sers toi et ne complique pas tout !
Charlotte : J'ai quatorze ans et demi et je suis enceinte ! T'entends ce que je te dis ?
Commissaire Borowitz : Tu as quatorze ans et demi, et tu es enceinte ! C'est bien, très bien ! Mais, ne te prends pas pour une surdouée ! D'après ce que j'ai lu dans une revue littéraire, certaines petites négresses se marient dès l'âge de 8 ans.
- Scène du dîner dans la villa d'Edmonde Puget-Rostand
Musard : Comment tu sais ?
Commissaire Borowitz : Oh, j'ai jeté un coup d'œil en remontant mon petit réveil.
Musard : Ton petit réveil ? Dis donc, ce serait pas un réveil du genre qu'on remonte qu'une fois ?
- Conversation téléphonique entre Borowitz et l'Auvergnat.
Cazauban : C'est p't'être vrai.
Commissaire Borowitz : Quoi ? Qu'il est con ?
Charlotte : Pourquoi ? Parce que tu as peur que la vieille t'entende ? Elle est en bas. Va la rejoindre ! Elle doit être en train de boire du vin rouge.
- Conversation entre le commissaire et sa fille, dans la cuisine de la villa
- Citation choisie pour le 24 avril 2009.
Rey : Divisionnaire ou pas divisionnaire, ça change rien !
Massard : Ouais ! Alors là, je crois que t'as tort. Tu sais comment on l'appelle ?
Rey : Comment ?
Commissaire Borowitz : Ah ! tu sais où tu peux te les carrer tes ordres ? Grosse loche !
Commissaire Borowitz : J'ai couru tout le diocèse, j'ai pas trouvé d'eau bénite, alors j'ai pris de l'essence ordinaire ; vous savez combien ça coûte ça : bientôt 3 balles. Remarquez, on aurait fait venir l'exorciseur, on aurait acheté des cierges ça aurait pas coûté 3 balles non plus.
Madame Langlois : L'exorciseur mais pour quoi faire M'sieur Cerruti ?
Commissaire Borowitz : Pour chasser le diable Madame Langlois. Ma petite sœur vient ici crack elle se retrouve au ciel, le commissaire Bertrand pareil, ce pauv'Mario pareil. Alors je m'suis dit : c'est l'endroit qu'est pas bon. Même pour vous je ne suis pas tranquille, c'est pas sain.
Monsieur Langlois : mais j'suis pas chez moi, j'suis qu'le gérant !
Commissaire Borowitz : Ah alors j'aime mieux ça : c'est pas un bien de famille. Madame Langlois serait née ici, j'comprendrais.
- Scène du bar avant que Borowitz y mette le feu
- Jean Paul Belmondo Catherine Lachens et Michel Beaune, Flic ou Voyou (1979), écrit par Michel Audiard
Commissaire Borowitz : Va falloir vous mettre au régime !
Le videur de chez Musard : Basses calories ou hydrate de carbone ?
Massard : En route, gros con !
- Scène du piège tendu à l'inspecteur « ripou » Massard par le commissaire Borowitz