La Grande-duchesse de Gérolstein
La Grande-duchesse de Gérolstein est un opéra bouffe en trois actes et quatre tableaux de Jacques Offenbach, sur un livret d'Henri Meilhac et Ludovic Halévy, créé le 12 avril 1867 au théâtre des Variétés à Paris, durant l'Exposition universelle.
Citations
modifierFritz : Vidons notre verre
En brave guerrier,
Et tant pis, ma chère,
Si c’est le dernier !…
- La Grande Duchesse de Gérolstein, Jacques Offenbach. Livret de Meilhac et Halévy, éd. Calmann-Lévy, 1867, Acte I, scène 1, p. 189
Le général Boum :
Quand je me fâche, l’on se tait !
Car ma rigueur, on la connaît.
- La Grande Duchesse de Gérolstein, Jacques Offenbach. Livret de Meilhac et Halévy, éd. Calmann-Lévy, 1867, Acte I, scène 1, p. 189
La Grande-Duchesse : Ah ! Que j’aime les militaires,
Leur uniforme coquet,
Leur moustache et leur plumet !
- Rondeau de la Grande-Duchesse.
- La Grande Duchesse de Gérolstein, Jacques Offenbach. Livret de Meilhac et Halévy, éd. Calmann-Lévy, 1867, Acte I, scène 8, p. 189
La Grande-Duchesse : Ah ! Que j’aime les militaires,
Leur uniforme coquet,
Leur moustache et leur plumet !
- Rondeau de la Grande-Duchesse.
- La Grande Duchesse de Gérolstein, Jacques Offenbach. Livret de Meilhac et Halévy, éd. Calmann-Lévy, 1867, Acte I, scène 8, p. 189
La Grande-Duchesse : Voici le sabre de mon père !
Tu vas le mettre à ton côté !
Après la victoire, j’espère,
Te revoir en bonne santé ;
Car, si tu mourais à la guerre,
J’aurais trop peur, en vérité,
De n’avoir plus jamais sur terre
Un moment de félicité !
- Air du sabre.
- La Grande Duchesse de Gérolstein, Jacques Offenbach. Livret de Meilhac et Halévy, éd. Calmann-Lévy, 1867, Acte I, scène 13, p. 239-240