Laurent Chemla
informaticien français
Laurent Chemla est le premier informaticien français à avoir été inculpé puis relaxé pour piratage informatique depuis un Minitel, en 1986.
Citations de Laurent Chemla
modifierArticles
modifierSi pour sauver 30 000 jobs dans l’industrie du loisir on décide de raréfier artificiellement une ressource abondante (le partage en P2P), c’est exactement comme si on empoisonnait toute l’eau des sources naturelles et des robinets pour protéger les vendeurs d’eau en bouteille. Exactement...
- « Laurent Chemla : je vous ai menti », Laurent Chemla, reflets.info, 23 juin 2013 (lire en ligne)
Vendre des noms de domaine, c'est vendre quelque chose qui ne coûte presque rien et qui appartient à tout le monde. Cela devrait être géré par le service public.
- « Gandi investit ses bénéfices dans le Net alternatif », Capucine Cousin avec DP, 01net, 11 février 2002 (lire en ligne)
Confessions d'un voleur
modifierJe suis un voleur. Je vends des noms de domaine. Je gagne beaucoup d'argent en vendant à un public qui n'y comprend rien une simple manipulation informatique qui consiste à ajouter une ligne dans une base de données. Et je vais gagner bien davantage encore quand, la pénurie artificielle ayant atteint son but, le commerce mondial décidera d'ouvrir quelques nouveaux TLD qui attireront tous ceux qui ont raté le virage du.com et qui ne voudront pas rater le virage suivant.
- Confessions d'un voleur - Internet : La liberté confisquée, Laurent Chemla, éd. Denoël, 9, rue du Cherche-Midi, 75006 Paris, 2002 (ISBN 2-207-25216-7), chap. Confessions d'un voleur, p. 127