Les Anges gardiens
Les Anges gardiens est un film d'action, et surtout une comédie française sortie en 1995 avec Christian Clavier et Gérard Depardieu pour personnages principaux (avec une apparition rapide). Il a pu obtenir la deuxième place au box-office de 1995.
Citations
modifierAntoine Carco
modifier- Ni hau maï = Bonjour, comment ça va ?
- Gérard Depardieu, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
- Gérard Depardieu, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
- Gérard Depardieu, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
- Gérard Depardieu, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
- Gérard Depardieu, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
- Gérard Depardieu, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
(Carco appelle la police depuis son bureau) Commissariat ? Rho ! Ici L'Carcos ! Nous sommes victimes d'une agression : des gangsters chinois terrorisent la salle avec des mitraillettes ! Dépêchez-vous, on a besoin d'secours ! Magnez-vous bordel (il raccroche et sort du bureau en courant, pistolet en main) Quels pétochards, ces flics !
Oh épargne-moi tes sermons, mon grand ! Hein, tu vois pas dans quelle merde j'me débats? Moi j'ai pas toutes mes journées d'libres pour penser aux autres, moi !
- Gérard Depardieu, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
- Gérard Depardieu, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
Autres personnages
modifier- Eva Grimaldi, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
- Laurent Gendron, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
- Christian Clavier, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
Dialogues
modifierPar ordre d'apparition dans le film
Radmilo : T'inquiète pas fiston. Demain on sera à Paris et on sera riche. (Bisous)
- Yves Rénier, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
Radmilo : Dai Bao san cho ! (parle en chinois) On se retrouve au bateau !
- Yves Rénier, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
Carco : Pourquoi garder de s'appeler de ligue. Il'ya pas de réservation qui tienne après 22h30. Pour moi c'est à tout de suite enfin ! Pas de tables vides aux Carco's !
- Gérard Depardieu, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
Carco : Allo, je te dis qu'il faut garder l'espoir ma poule.
Régina : C'est qui ma poule ? Hmm !
Carco : Alors, la, tu vas pas me croire. Un vieux copain, que j'ai pas vu depuis 20 ans.
Régina : Tu as raison, je ne te crois pas.
- Gérard Depardieu et Eva Grimaldi, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
Père Tarain : Jérôme et Rachid, vous nous accompagnez au camp des réfugés parce qu'on a besoin de deux grands costauds.
Jérôme : C'est obligé ?
Père Tarain : Vous les petits profitez de votre dernière journée ici vous pouvez vous baigner.
Les enfants : Ouaais !!
Père Tarain : Attention aux requins.
Jérôme : C'est toujours nous qu'on s'y colle c'est injuste.
Père Tarain : Jérôme, si tu trouveras que ça n'est pas juste d'aller distribuer un peu de nourriture à des réfugiés qui ont faim ne vient pas. Je me coltinerais ces bassines tout seul avec sœur Bénédicte et mère Angelina et ses 80 ans, comme ça tu n'auras pas l'impression de subir une injustice.
Jérôme : Bon d'accord on arrive Padré.
Père Tarain : se retournant brusquement et ébouillantant la mère Angelina Non mais ne m'appelle pas Padré !
Mère Angelina : AH AH !
Père Tarain : Oh putain de merde ! Excusez-moi c'est le bouillon qui a giclé ! Vous vous êtes fait mal ?
Mère Angelina : C'est épouvantable AH AH AH !
Père Tarain : Oh je suis mortifié ma mère !
- Christian Clavier, Julien Courbey et Dominique Marcas, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
Rachid : (parlant du riz qu'il doit servir aux réfugiés) Oh, ça colle mon père ç'est de la merde !
- Laurent Jaubert, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
Père Tarain : Regardez les enfants ce bel oiseau d'acier qui va se poser au ras des buildings.
Jérôme : Ouais super.
Rachid : Super.
Père Tarain : Super. Super.
- Christian Clavier, Julien Courbey et Laurent Jeubert, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
Carco : Je suis resté accroché derrière le bus parce que... parce que en sortant du taxi, une Toyota conduite par un chauffard a failli me renverser.
Les enfants : Nous aussi ! Nous aussi ! Nous aussi !
Jérôme : (parlant des déboires du curé) Ouais des toyotas elles ont failli niquer le père Tarain !
Père Tarain : Oui et non effectivement c'est passé razibus !
Bao et Les enfants : rigolant Ah razibus !!
- Gérard Depardieu, Julien Courbey Alexandre Eskimo et Christian Clavier, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
Père Tarain : Johnny le prochaine c'est une calotte !
- Christian Clavier, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
Carco a caché son argent dans l'agenda du curé pour passer la douane plus facilement, dans cette scène il cherche à tout prix à récupérer cet argent.
Carco : Sortez donc votre agenda pour qu'on prenne rendez-vous.
Père Tarain: Je m'en suis débarrassé, mais ça n'est pas grave, j'ai une mémoire d'éléphant.
Carco : Vous vous êtes débarrassé de votre agenda ?! Le gros agenda en cuir que j'ai vu à l'aéroport, vous vous en êtes débarrassé ?! Celui avec une grosse tête de Sainte Vierge collé dessus, vous ne l'avez plus ?!
Père Tarain : Une grosse tête de Sainte Vierge ? Pas du tout mais je n'ai jamais eu un agenda avec une grosse tête de Sainte Vierge.
Carco : Je l'ai vu je l'ai vu !
Père Tarain : Mais pas du tout.
Carco : Mais je l'ai vu, je ne suis pas fou je l'ai vu !
Père Tarain : Ah ! Sainte Catherine de Sienne ! Vous confondez Sainte Catherine de Sienne avec la vierge Marie. Ah pour un catholique vous me décevez. Et puis la Sainte Vierge n'a pas du tout une grosse tête.
Carco : Ah mais je me nargue Sainte Catherine de Sienne. Alors il est où cet agenda MERDE !
Père Tarain : Pardon ?
Carco : Mais il est où ?
- Gérard Depardieu et Christian Clavier, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
Malheureusement, un douanier à Paris a décidé de fouiller les valises du prêtre, Carco, inquiet, cherche à éviter cette fouille.
Père Tarain : Y'a un problème.
Douanier : Cette valise est à vous ?
Père Tarain : Oui mon fils.
Douanier : Je ne suis pas votre fils!...
Carco : Non mais attendez, qu'est-ce que vous cherchez exactement à faire ? À bouffer du cureton ? C'est révoltant ça on laisse passer des terroristes avec des bombes et on harcèle un curé qui rend service à tout le monde.
Père Tarain : Mais non mon fils, Monsieur fait son travail et c'est tout à fait normal.
Carco : Monsieur ne fait pas son travail, Monsieur ne fait rien du tout, Monsieur fait chier. Monsieur est un anticlérical épidermiste ! On va passer faire.
- Gérard Depardieu, Christian Clavier et Patrick Zard, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
Lucky : (à Luna) Tu sais que tu dégages en deuil toi, hein ma chère ?
Luna : Pff je sais même pas de qui je suis en deuil.
- Laurent Gendron et Jennifer Herrera, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
Luna : Je me suis labé, je suis la maman.
Père Tarain : Euh, Madame Ciccolini mes mes condoléances les plus sincères.
Luna : Hum.
Lucky : Salut je suis Lucky, le frangin d'Antoine !
Père Tarain : Ah c'est vous l'ancien séminariste !
Lucky : De quoi, ah ouais !
Père Tarain : Regarde qui est la-bas, Bao ta maman est venue te chercher.
Bao : Non!
Père Tarain : Hein? Mais que'est que.. mais viens ici, je t'en prie, mais qu'est-ce qu'il veut?
Luna : J'y arrive pas, il se doute déjà.
Bao : Je suis resté moi avec Yasmina.
Père Tarain : C'est ridicule mon bonhomme, ta maman est ici, te reconnais pas ta maman ?
Bao : Non!
Père Tarain : Comment ça non? Ben tu vas pas nous faire un caprice hein, allez.
Bao : C'est pas maman.
Père Tarain : Allez, va où? Embrasse ta maman.
Luna : Hum.
Père Tarain : Vous n'embrassez pas votre fils.
Luna : Écoutez, je sais pas sa maman. Et ça me dégoute de mentir devant ce pauvre môme, c'est Antoine qui m'a obligé. Voilà la vérité. Excusez-moi mon petit je m'excuse.
Carco : Ah je m'en suis sorti. Quel cirque, c'est invraisemblable ! Ils étaient prêts à me fouiller l'cul avec une lampe torche !
- Jennifer Herrera, Christian Clavier, Laurent Gendron, Alexandre Eskimo et Gérard Depardieu, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
Au milieu de l'aéroport, se retrouvent Régina, la fiancée de Carco, Luna, celle que Carco fait passer pour sa femme devant le curé, le curé et Lucky, le frère de Carco, au milieu des mensonges du patron du cabaret où travaillent les deux femmes. Cette dispute mémorable, Régina, puis Luna viennent lancer à Carco ce qu'elles pensent de lui.
Régina : (furieuse) Dégueulasse ! Vous êtes tous des dégueulasses ! Ca fait 10 minutes que je vous observe et j'ai enfin compris votre ignoble manège !
Carco : Non alors là Régina, je ne sais pas ce que tu es venue faire ici mais vraiment tu tombes au mauvais moment !
Père Tarain : Qui est Madame ?!
Régina : Sa fiancée mon père, je suis sa fiancée. 8 ans que je sacrifie ma vie à ce gros mâcho qui me promet le mariage pointant Luna alors qu'il veut épouser cette grognasse qui se fait faire un bébé, et qui a à peine 2 ans de moins que moi !
Luna : Rajoute en 15 ma chérie.
Régina : (s'en prenant au curé) Et tout ça sous la bénédiction du curé. Ah elle est chouette l'Église !
Carco : Allons Régina, ce brave curé n'y est pour rien.
Régina : (à Luna) Espèce de sale chintok !
Luna : Tu crèves de jalousie vieille toquée.
Père Tarain : Mesdames un peu de sang froid vous pourriez éviter de pareilles scènes devant ce pauvre enfant.
Régina : Ta gueule !
Carco : Oh! Maintenant on fait un régina ma chérie !
Père Tarain : Oh. Oh ! Oh là là !!
Carco : Fais-moi confiance. Je ne peux pas te dire la vérité en public, mais quand tu connaîtras de l'histoire, tu serasfolle de joie!
Régina : C'est difficile qu'on a eu un bébé avec une femme qui n'est pas la sienne. Nous deux c'est terminé, finito !
Carco : Amour...
Luna : C'est vrai c'est charié hein, me forcer à mentir à un prêtre c'est vraiment dégueulasse, moi qui vous prenait pour un type génial. OUHH Désillusions !
Carco : Mais quoi...?
Lucky : C'est vrai que sans t'enfoncer t'as envoyé le bouchon franchement loin.
Carco : (empoignant Lucky) On t'as demandé l'heure qu'il est à toi ? Aller va et essaye de rattraper Régina pis essaye de la raisonner, tiens ! Donnez-moi les clés T'as BM ! Il faut que je parle au Père Pain !
Père Tarain : Tarain ! C'est Tarain ! A.I.N comme train ! Non, comme nain ! Non, comme du pain, du pain, du bon pain !
Carco : Oui c'est ça !
Père Tarain : (faisant allusion à la scène à laquelle il vient d'assister) Je crois que vous allez avoir bien du mal à trouver une explication satisfaisante.
Carco : Oui bah je vais pas essayer d'ailleurs, allez je t'ai fait extens.
- Eva Grimaldi, Gérard Depardieu, Christian Clavier, Jennifer Herrera et Laurent Gendron, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
A la suite de ces événements, Carco est affublé d'un ange gardien qui est sa bonne conscience et qu'il est seul à voir et entendre. Croyant à une hallucination, il freine en plein milieu de l'autoroute. S'ensuit un monstrueux carambolage.
Conducteur : Non mais ça va pas non ! Vous êtes pas le droit, on dirait que ça non !
Carco : C'est un type là, regardez il y a été de la voiture est énormément !
Conducteur : Y'a un personne, il a été éjecté !
Carco : (à un conducteur) Éjecté ??? Vous voyez bien que ma voiture n'a rien pauvre con !
Conducteur : Attention pas sur ce ton là ! Ho ! La mienne est foutue et c'est de votre faute !
Carco : Comment ça c'est de ma faute ?
Conducteur : C'est de votre faute, vous avez freiner comme ça sans raisons. Ça on va le marquer dans le constat, croyez-moi !
Carco : Et les distances ?! Vous devez rester maître de votre vitesse mon petit père ! C'est toi qui est dans ton tort voilà ce qu'on va marquer dans le constat !
Bonne conscience : Toutoune !
Carco : (au conducteur) Aaaah !!!
Bonne conscience : Tu recommences à faire le salaud !
Carco : (au conducteur) Il est là !! Il est là !! Là !!!
Bonne conscience : Toutoune !
Carco : (au conducteur) Aaaah !!!
- Michel Bonnet et Gérard Depardieu, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
Après avoir refusé la confession à Carco et à une autre paroissienne, le Père Tarain est lui aussi affublé d'un ange gardien qui est lui sa mauvaise conscience. Il est le seul à pouvoir le voir et l'entendre également.
Mauvaise conscience : Ah ah ah ! Putain mais qu'est-ce que tu leur a mis ! Oh mais t'as franchement séché le gros taré !
Père Tarain : Qu'est-ce que c'est ?
Mauvaise conscience : Quant à la vielle morue à mon avis elle te fera plus chier avec ses conneries pendant au moins 10 ans !
Père Tarain : faisant un signe de croix Ooooh !!! Oooh !! Ooh !
Mauvaise conscience : Ah non mais tu m'as surpris, tu viens de refuser le sacrement de la confession au mépris de la plus élémentaire charité ! Oh mais c'est génial !
Père Tarain : Mais qui-êtes-vous ? Qui-êtes-vous ?
Mauvaise conscience : Heu… quoi ! Tsss, Tsss, Tsss.
Père Tarain : Oh putain ! Ah ! Ah là là ! Oh ça va mieux !
Mauvaise conscience : Ah !
Père Tarain : Oh mon Dieu, mon Dieu merci ! Mais qu'est-ce qu'il mais… Mais qu'est-ce qu'il mais…
Mauvaise conscience : Je suis là mon poulet.
Père Tarain : Aaaah !!!
Mauvaise conscience : Ah ah ah ! Ah ah ah ah ah ah !
Carco : Ouvre où je défonce la porte ! Aie !
Bonne conscience : Bien fait. Hé. Hé.
Carco : Il est encore là, lui.
Bonne conscience : Si je te perturbe à ce point là, c'est très simple : cesse de ne t'intéresser qu'au pognon. Et je disparaîtrai sur le champ. Rappelle-toi du chic type que tu étais à Brive.
Carco : Fumier, và !
Bonne conscience : Ah ah ah !
Carco : Aie ! Aie !
Mauvaise conscience : Ah ah ah !
Père Tarain : Saleté vade retro !
Mauvaise conscience : Ah ah ah !
Père Tarain : Vade retro !
Mauvaise conscience : Ouh ! Ça chatouille ! Blond ! Blond ! Blond !
Père Tarain : Satanas !
Mauvaise conscience : Ça ! Ça chatouille ! Oh ça chatouille !
Madame Albert : Mon père ! Je vous apporte des œufs tout frais pondus.
Père Tarain : Espèce de monstre.
Madame Albert : AH ! Oh putain de merde.
Père Tarain : Oh ! Madame Albert pardon, c'est une méprise.
Bonne conscience : Tu n'as pas respecté la parole donnée à un mourant.
Carco : Quoi mais enfin j'ai ramené le môme sain et sauf !
Bonne conscience : Toutoune. Tu as pris l'argent du chérubin. Et tu l'as abandonné.
Carco : Je l'ai laissé au cureton le temps de lui trouver une famille d'accueil de qualité c'est tout. T'as vu mon job ? Tu crois que c'est un bel exemple pour un chérubin ça ?
Bonne conscience : Tu ne penses pas que tu aies l'âge de fonder un foyer ? D'avoir des enfants ? Je suis là pour te montrer le droit chemin.
Carco : Et si je refuse ?
Bonne conscience : J'en serais désperéré pour toi.
Carco : Oui désperéré désperéré d'accord... Non Mais... En cas de refus ? Y'a des mesures de rétorsion prévues ?
Bonne conscience : Je suis simplement ta conscience. Je suis non-violent.
Carco : Tu veux dire qu'il y aura pas de punition ?
Bonne conscience : Non. Je ne suis pas descendu pour te faire du mal.
Carco : Eh bah c'est super, bah je m'en fous. Il faut que je m'occupe du pognon du p'tit.
Père Tarain : Ah y'a ça ! Ah bah je vais pouvoir vous sécher les pieds Mme Albert. Avec ce bon séchoir. Voilà. (il sèche les pieds) Tenez Mme Albert.
Mauvaise conscience : Ah ! (il cassé sèche brûlant)
Madame Albert : Aaaah !!! (elle cassé sèche brûlant)
Père Tarain : Mme Albert. Oh, putain de merde.
Madame Albert : Griller ! Il a voulu me griller ! À l'assassin (elle routine cheuveux brûles)
Père Tarain : C'est une méprise Mme Albert, c'est n'est pas moi.
Madame Albert : C'est qui alors ? C'est moi peut-être ?
- Christian Clavier, Gérard Depardieu et Françoise Bertin, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
Bonne conscience : Qu'est-ce qui se passe, toutoune ? Un souci ?
Carco : Ta gueule, ducon !
Bonne conscience : Oh, ouf.
- Gérard Depardieu, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
La mauvaise conscience du curé l'a mené jusqu'au cabaret de Carco par taxi.
Mauvaise conscience : Putain t'étais moins coincé quand t'étais môme, quand tu jouais au docteur avec la petite Magalie.
Père Tarain : Je n'ai jamais joué au docteur avec la petit Magalie !
Chauffeur de taxi : (se retournant surpris) Ça me regarde pas avec qui vous jouez au docteur ! Dites moi simplement si c'est là que vous descendez, et si je coupe le compteur où pas !
- Christian Clavier et Philippe Nahon, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
Père Tarain : Vous laissez votre deuxième épouse faire du nu ?!
Carco : Oui enfin c'est pas encore ma deuxième épouse et puis d'ailleurs ça le sera peut être jamais puisque je me suis déjà engagé ailleurs.
Père Tarain : Oui avec la mère du petit, votre première épouse chinoise.
Carco : Non avec Régina, vous voyez Régina, vous savez cette bombe splendide qui est venue faire sa crise à Roissy.
Père Tarain : Alors vous êtes trigame ?!
Carco : Non j'ai plus les emmerdements du trigame que les avantages voyez-vous ?
- Christian Clavier et Gérard Depardieu, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
Carco : (se tournant vers son frère) Tiens Lucky, amène le Père Pain dans le bureau de la direction.
Lucky : Le bureau de qui ?
Carco : (se pointant lui-même du doigt frénétiquement) De la direction la direction là tu vois, le bureau de la direction !!
Lucky : Ah !
Carco : Le bureau de la direction.
- Gérard Depardieu et Laurent Gendron, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
Carco : Non mais dites donc ! Vous me demandez des explications je vous les donne ! Un peu de tolérance chrétienne merde ! Enfin !
Père Tarain : Pardon excuse-moi.
- Gérard Depardieu et Chrisitan Clavier, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
Père Tarain : Ah. Ça ne marche pas M. Ciccolini ! Ah ! Non ! Hop ! Ouf. Oh mince. Oh mince, M. Ciccolini.
- Christian Clavier, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
Carco : Ca sent le brulé. Oh putain mais vous êtes con ! Oh! Oh!! Mais qu'est que tu fabriques, ma poule !
Régina : Oh non !
Carco : Tout Crame.
Père Tarain : J’essayais de l’éteindre de ma voiture, quand un autre foyer à mystérieusement pris chez le voisin !
- Gérard Depardieu, Eva Grimaldi et Christian Clavier, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
Carco essaye de faire croire à Régina que le Père Tarain est "Ma Poule".
Carco : Je suis pas sûr que ce soit le bon moment, ma poule.
Père Tarain : Tu... Tu m'appelles "Ma Poule" ?
Régina : Rasputin !
- Gérard Depardieu, Christian Clavier et Eva Grimaldi, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
Père Tarain : Bon et bien y’a de quoi se faire un bon casse-dalle.
- Christian Clavier, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
Père Tarain : Quoi.
Carco : Oh vous êtes encore, elle à vengé !
Père Tarain : Ah non! Ah non!! Ah non, mais merde alors, zut zut zut et flûte!!! Est-ce que vous rendez bien compte, des dégâts que peuvent causer un tel mensonge?!!
- Christian Clavier et Gérard Depardieu, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
Geneviève : Mais c'est pas trop grave, allez vous coucher, et il faut ne claquez pas les portes !
- Anna Gaylor, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
Bon Papa : (parlant des Triades chinoises) Faut pas céder aux ravisseurs, il faut les débusquer à la carabine ces faces de pamplemousse.
Père Tarain : Ça va bien bon papa, épargne nous tes discours racistes.
Geneviève : Allez Bon Papa ! Tu peux aller là.
Bon Papa : Est-ce qu'on a discuté avec le Viêt-Min ? Capitulants ! Vous êtes tous des capitulants !
- Jean Champion, Christian Clavier et Anna Gaylor, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
Carco : Bah, tu laisses pas ton sac dans la voiture ?
Père Tarain : Ah non non non, non ce genre de voiture au luxe tapageur est une telle tentation pour les voleurs à la tire !
Carco : Alors tu excuses les salauds qui bousillent la bagnole.
Père Tarain : Trop de luxe, c'est une provocation pour certains.
Carco : Si tu veux, tu peux rentrer à Paris en stop ! Je vais quand même pas vivre comme un pouilleux pour te faire plaisir !
Bonne conscience : Quelle vulgarité d'étaler ton blé comme ça, tu veux humilier ce brave garçon qui marche en sandale ?
Carco : (à sa bonne conscience) Pouêt pouêt pouêt pouêt pouêt !
Père Tarain et Bonne Conscience: Oh ! Pouêt pouêt pouêt!
- Gérard Depardieu et Christian Clavier, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
Carco s'infiltre avec le curé dans une fête à Bruxelles où il se fait passer pour un policier d’Interpol.
Le Père Tarain a lancé un verre sur sa mauvaise conscience, qui l'a dévié sur l'un des invités, un homme très musclé.
Invité : (empoignant le curé) Tu'es qui toi le connard town père ?
Père Tarain : C'est pas vous je visais, c'est une méprise.
Iinvité : Mais qu'est-ce que c'est que cette lopette déguisée en cureton ?!
Père Tarain : Allons, allons...
Carco : Il t'a dit que c'est pas toi qu'il visait, tu parles pas français ?
Invité : (se tournant vers Carco) Je t'ai causé à toi le gros ?
Carco : Qui est gros ? (assénant un coup de tête à l'invité)
Invité : AHHHH !
Figurant : Hola, arrêtez la musique ?
Père Tarain : Oh non.
Carco : Ben quoi.
Bob Vandick : Je suis la propriétaire ici monsieur, je vais demander vous êtes m'en aller, parce que nous n'apprécions pas la violence par chez nous.
Carco : C'est un interpol nous a donné votre adresse. Où est Lily Wang !
Bob Vandick : Ah vous êtes la police. M. le Curé aussi peut-être.
Carco : (en désignant le curé) Non Monsieur m'accompagne, il pratique de temps en temps des extrêmes onctions en cas de bavures, si vous me suivez Bob.
Bob Vandick : Bon ça va, allez suivez-moi.
- Mouss Diouf, Christian Clavier, Gérard Depardieu, Dany Boon et Jean-Henri Compère, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
Arrêtés dans un restaurant, Carco a commandé un dessert qui fait très envie au Père Tarain. Sa mauvaise conscience va profiter de l'absence de Carco pour faire commettre au Père le péché de Gourmandise.
Père Tarain : On aurait peut-être mieux fait d'aller à Jemmapes directement plutôt que de s'attarder à Bruxelles.
Carco : J'ai un rendez-vous téléphonique avec toubib dans 10 minutes. On verra après, Jemmapes c'est tout petit, pour trouver un restaurant ouvert à cette heure-là...
Père Tarain : Je ne sais pas comment vous avez le coeur à manger moi quand je pense à mon frère et au pietot je n'ai plus d'appétit.
Carco : Ben moi, j'ai la dalle ! C'est copieux le Waterzooï de poulet ?
Le garçon du café : C'est un plat.
Carco : Bah j'en prends.
Père Tarain : Vous avez de la salade d'endives ?
Le garçon du café : De chicons vous voulez dire ?
Père Tarain : Oui, une salade simple
Le garçon du café : C'est servi avec le carré d'agneau uniquement.
Père Tarain : Ah oui alors non.
Le garçon du café : Où le Jarret de porc.
Carco : Ah oui j'en prends ! Le Jarret de porc j'en prends aussi. je t'aiderai. Une petite bière s'il vous plait.
Le garçon du café : Parfait. Heu... un baron de gueuze pour la 3!
Père Tarain : Moi je prendrai de l'eau du robinet.
Le garçon de café : Hum.
Carco : Et puis vous me mettez de côté le Paris-Brest là. Il en reste qu'un je veux pas rater celui-là. Je le prends. Allo, Professeur Van Den Berg ? Je vous au sujet de Lily Wang. Je suis le meilleur ami de son mari malheureusement est décédé et je lui ai ramené son fils. Je suis avec le père Tarain qui connaît aussi très bien l'enfant et qui lui aussi est un spécialiste des chnoufés. Pardon ? Bah oui des drogués, c'est ce que je voulais dire.
Le garçon du café : J'apporte le Paris-Brest de votre ami parce qu'on va fermer.
Père Tarain : Merci, il revient de suite.
Le garçon du café : Vous-voulez la carte des douleurs ?
Père Tarain : Merci beaucoup, j'ai déjà trop mangé.
Le garçon du café : D'accord. D'accord.
Père Tarain : Qu'est-ce-que j'ai fait, bon.
Mauvaise conscience : Bah vas-y bouffe le t'as toujours adoré le Paris-Brest !
Père Tarain : Fiche-moi la paix tu perds ton temps !
Mauvaise conscience : S'il était aussi bon que celui que faisait Mamie Huguette, Hein ? Mais prends-en au moins une petite bouchée,
Père Tarain : Chut.
Mauvaise conscience : Pour faire la comparaison,
Père Tarain : Chut.
Mauvaise conscience : En plus tu lui rends service,
Père Tarain : Chut.
Mauvaise conscience : Parlant de Carco Il est bourré de cholestérol.
Père Tarain : Chut.
Mauvaise conscience : (prenant le dessert) Regarde, cette crème au beurre !
Père Tarain : (écrasant le Paris-Brest) Lâche ça !
Mauvaise conscience : Et bah maintenant que tu l'as bousillé, tu ferais mieux de le manger. Hein !
Père Tarain : Ça tu me le paieras ! (il mange comme un cochon)
Mauvaise conscience : Hein.
Carco : Ah. Moi j'ai eu le professeur, il est d'accord pour la sortir demain à condition qu'on la prenne en charge. J'ai beaucoup insisté sur le fait que t'étais un curé.
Père Tarain : Tu as bien fait. Tu as bien fait.
Carco : Bon bah je vais prendre mon Paris-Brest et on va à l'Hôtel métropole. Garçon !
Père Tarain : Non non c'est pas la peine j'ai demandé pour toi ils m'ont répondu qu'ils étaient désolés mais qu'ils avaient été obligés de donner le dernier à un habitué. Pas de chance ! On peut y aller j'ai payé. D'ailleurs ils vont fermer.
Carco : Ah non mais c'est des cons. Assieds-toi là. Je l'avais repéré en rentrant. Garçon ! Mon Paris-Brest !
Père Tarain : N'en faites rien, le garçon était tellement désolé j'ai rien pu dire, il en avait les larmes aux yeux. Allons-y, on est crevés. Puis c'est pas dramatique.
Carco : Oui d'accord, mais enfin… Moi je reste sur ma faim là. Un repas sans dessert, c'est comme un week-end sans gonzesse !
Père Tarain : Hein ?
Carco : Pardon, vieux.
Père Tarain : Oui.
- Christian Clavier, Gérard Depardieu et Philippe Sturbelle, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
une groome de l'hôtel bruxelloise : Nous n'avons plus qu'une chambre avec un grand lit mais si vous voulez je peux peut-être appeler à Namur.
Carco : Non non non, à la guerre comme à la guerre. Vous ne ronflez pas, j'espère ?
Père Tarain : Ah non ! Ah non ah non non.
Carco : Merci, ma fille.
Père Tarain : Merci.
- Valérie Melignon, Gérard Depardieu et Christian Clavier, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
Carco : Bonjour Docteur.
Professeur Georges : Appelez-moi Georges ! Ici je m'appelle Georges !
Carco : Le père-Hervé.
Professeur Georges : Bonjour mon père.
Père Tarain : Bonjour, Georges.
Professeur Georges : Alors vous m'avez dit. Y'a que le mari de Lily Wang est décedé, c'est quand d'arrive comment ça.
Carco : Écrasé chauffard, circulation effroyable vous-êtes appelé au Hong Kong.
- Gérard Depardieu, Francis Lemaire et Christian Clavier, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
Carco : Putain mais t’es con ou quoi ? LE SPÉCIALISTEEEEEE ! Vient de nous dire qu’elle ne supporterait pas des choses comme ça.
- Gérard Depardieu, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
Carco : Amène de l'eau.
Père Tarain : Non mais.
Carco : De l'eau ?
Père Tarain : Non mais de l'eau, la gifle pas, faut lui mettre les pieds en l'air.
Mauvaise conscience : Exact comme ça sa jupe va tomber !
Père Tarain : Oh. Sagouins ?
Un serveur routier : Oh non !
- Gérard Depardieu, Christian Clavier et Michel Bonjour, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
Lily Wang : Mais il n'a jamais fait mon oncle ! J'étais sa manucure et je suis malheureusement devenue sa petite amie. Mais comme ça ça hypocrtie et qu'en plus il est marié présenté par tous comme sa nièce !
Carco : Un nièce, Un nièce.
Père Tarain : Ah tu connais pas l'expression de sa nièce.
Carco : Non pas du tout, quelle expression.
Père Tarain : Mais c'est une classique une vieille expression d'origine alsacienne, quand une jeune fille est avec un vieux barbon, on dit qu'il est avec un nièce bien sûr.
Carco : Ah non bah je savais pas.
Père Tarain : Bah oui
Carco : Moi quand je dis ma nièce, je pense à ma nièce, c'est-à-dire la fille de ma sœur et pas forcément à un vieux con. Alors maintenant si tu cherches à me vexer avec ta culture, et bah je t'emmerde !
- Ysé Tran, Gérard Depardieu et Christian Clavier, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
Ling Bu : Bonjour.
Luna : Mon frère, Ling Bu.
Carco : Enchanté.
Père Tarain : Enchanté monsieur ! Enchanté monsieur ! Enchanté monsieur !
Mauvaise conscience : Waoh ! Beau châssis, cette salope !
Père Tarain : Mais vas-tu-cesser ! Ça suffit comme ça, dégénéré ! Ouf il avait chaud.
Carco : Ah les voila. Bonjour Dédé.
Dédé : Salut M. Carco.
Luna : Il a dit qu'un certain monsieur mois, avait une affaire d'un Paul Hadji-Cenco. Ainsi qu'un restaurant davait lui qu'il est Le mandarin qui fume.
- Van Dung Nguyen, Jennifer Herrera, Gérard Depardieu, Christian Clavier et Lionel Azoulay, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
Carco : Et bah mes enfants y'a un bon dieu.
Père Tarain : Mais c'est ce que je me tue à vous dire ! Non maman. Non non non non. C'est pas toi que je parlais.
- Gérard Depardieu et Christian Clavier, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
Les comparses s'apprêtent à rentrer dans le restaurant chinois où se terre le bandit qu'ils recherchent mais le curé interpelle Carco sur une erreur de langue qu'il a commise.
Ling bu : Les dans l'arrière-salle, dans le salon-privé.
Carco : Luna, Lily Wang ! Il faut d'attendre ici dans la voiture, frères dédé et le père-hervé. Dédé et Monsier Ling-bu.
Ling bu : Moi c'est Ling-Bu. Mon nom est Ling. En chinois c'est inversé, Ling-Bu, Bu Lin.
Père Tarain : Mais je croyais que vous parliez chinois couramment.
Carco : On va pas passer notre temps discuter grammaire allez en route. (Se dirigeant vers le restaurant)
Père Tarain : Pas trop de violence mon fils.
Carco : (d'une voix mielleuse) Pff, je suis le minimum.
- Van Dung Nguyen, Christian Clavier et Gérard Depardieu, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
Père Tarain : J'y vais.
Luna : Carco à dit, vous deux on vient d'attendre de là.
Père Tarain : C'est mon frère. Je veux pas attendre, comme un lâche.
- Christian Clavier et Jennifer Herrera, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
Lily : Il a très sportif ton frère.
Luna : Oui.
- Ysé Tran et Jennifer Herrera, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
Père Tarain : Hop la.
Un homme de main de Mr. Mo : « Wait » ???!!
Père Tarain : Ah non non ! Non non si faut je dois y aller mon fils.
Un homme de main de Mr. Mo : Chut.
Ling bu : Il faut que le prêtre se fait échappée la haut.
Carco : Le prêtre ? Venez avec moi Dédé !
Un homme de main de Mr. Mo : « You. Glad to see you friend. » ???!!
- Christian Clavier, Frankie Chin, Van Dung Nguyen et Gérard Depardieu, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
Carco : Voilà le travail. Pff.
Père Tarain : Merci Antoine, sans toi je passais un sale moment que le moins (-(quart (-heure))).
Carco : Ok. On vient me chercher de môme !
Père Tarain : Oh...
- Gérard Depardieu et Christian Clavier, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
Dédé : Allez.
Carco : Ouf. Parle en français surtout de colline.
Mr.Mo : Ouvrez ! C'est Mr. Mo !
Carco : Bouge pas t'es mort ?
2 frères Dédé : M. Carco ! On les à trouvé !
Carco : Les bandits.
Lily : Bao !
Bao : Maman !
Carco : Ouf.
Jean-Luc : Pour une fois, j'ai du beaucoup plaisir à te voir Hervé.
Père Tarain : Moi aussi toi aussi, hein.
Jean-Luc : Oui.
- Lionel Azoulay, Gérard Depardieu, Shi Liang, Ysé Tran, Alexandre Eskimo et Olivier Archard, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
Régina : Qu'est-ce que tu regardes.
Carco : Hein, je t'aime.
Régina : Ah.
- Eva Grimaldi et Gérard Depardieu, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
Professeur Georges : Bonjour mon père.
Père Tarain : Bonjour, Georges. (mort de rire)
Père Tarain : Bonjour, Georges. (mort de rire)
Professeur Georges : Vous m'avez dit au téléphone…
- Francis Lemaire et Christian Clavier, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
Père Tarain : La serrure est arrachée !
Carco : Elle est tombée comme ça. Vous savez, ça doit être à l'aéroport, un pickpocket qui a essayé de vous… - avec le rasoir… - Non regardez… (mort de rire)
Père Tarain : Regarez… Regardez moi-ça… Ça vous fait rire ? (mort de rire)
- Christian Clavier et Gérard Depardieu, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe
Personne pourra y toucher. Oh ! Le masque tout petit. (mort de rire)
Carco : Il éclate… - Il éclate… (mort de rire)
- Christian Clavier et Gérard Depardieu, Les Anges gardiens (1995), écrit par Frédéric Berthe