Les Enfants du capitaine Grant
livre de Jules Verne
Les Enfants du capitaine Grant est un roman d'aventures de Jules Verne, paru en 1868. Il relate le voyage d'une expédition de secours montée par Lord et Lady Glenarvan pour retrouver le capitaine Grant et ses enfants, disparus en mer après le naufrage du Britannia, et dont le couple a retrouvé les messages de détresse.
Citations
modifier(...) il est d’usage à bord de tout navire de visiter soigneusement l’estomac des requins. Les matelots, connaissent sa voracité peu délicate, s’attendent à quelque surprise, et leur attente n’est pas toujours trompée.
- Les Enfants du capitaine Grant, Jules Verne, éd. Hetzel, coll. « Voyages extraordinaires », 1868, partie I, chapitre I, p. 3 (lire en ligne)
Il est évident que chacun d’eux était la traduction littérale des autres, car ils contiennent tous le même nombre de lignes. Il faut donc maintenant les réunir, les traduire en une seule langue, et chercher leur sens le plus probable, le plus logique et le plus explicite.
- Les Enfants du capitaine Grant, Jules Verne, éd. Hetzel, coll. « Voyages extraordinaires », 1868, partie I, chapitre II, p. 12 (lire en ligne)
Le 7 juin 1862, le trois-mâts Britannia de
Glasgow a sombré sur les côtes de la
Patagonie dans l’hémisphère austral. Se
dirigeant à terre, deux matelots et le capitaine
Grant vont tenter d’ aborder le continent où ils
seront prisonniers de cruels Indiens. Ils ont jeté
ce document par degrés de longitude et 37°
11′ de latitude. Portez-leur secours, ou ils sont
perdus.
Glasgow a sombré sur les côtes de la
Patagonie dans l’hémisphère austral. Se
dirigeant à terre, deux matelots et le capitaine
Grant vont tenter d’ aborder le continent où ils
seront prisonniers de cruels Indiens. Ils ont jeté
ce document par degrés de longitude et 37°
11′ de latitude. Portez-leur secours, ou ils sont
perdus.
- Message de détresse du capitaine Grant reconstitué par Lord et Lady Glenarvan à partir des fragments des messages en trois langues trouvés dans la bouteille.
- Les Enfants du capitaine Grant, Jules Verne, éd. Hetzel, coll. « Voyages extraordinaires », 1868, partie I, chapitre II, p. 12 (lire en ligne)
Est-il un plus grand bonheur que de promener son amour vers ces contrées charmantes de la Grèce, et de voir se lever la lune de miel sur les rivages enchantés de l’Orient ?
- Les Enfants du capitaine Grant, Jules Verne, éd. Hetzel, coll. « Voyages extraordinaires », 1868, partie I, chapitre III, p. 20 (lire en ligne)
Enfin, ils ont donné toutes les mauvaises raisons de gens qui veulent refuser.
- Lord Glenarvan, à propos des recours qu'il a sollicités en vain pour monter une expédition de secours.
- Les Enfants du capitaine Grant, Jules Verne, éd. Hetzel, coll. « Voyages extraordinaires », 1868, partie I, chapitre IV, p. 27 (lire en ligne)
Le Duncan est un brave et bon navire ! il peut affronter les mers du sud ! il peut faire le tour du monde, et il le fera, s’il le faut ! Partons, Edward ! Allons à la recherche du capitaine Grant !
- Lady Glenarvan
- Les Enfants du capitaine Grant, Jules Verne, éd. Hetzel, coll. « Voyages extraordinaires », 1868, partie I, chapitre IV, p. 28-29 (lire en ligne)