Les Sept Voleurs de Chicago

film sorti en 1964

Les Sept Voleurs de Chicago est un film américain réalisé par Gordon Douglas, et sorti en 1964. Le scénario est une transposition de l'histoire de Robin des Bois, dans le contexte de la pègre de Chicago.

Frank Sinatra et Peter Falk incarnent respectivement Robbo et Guy Gisborne, deux gangsters voulant prendre le contrôle de la pègre suite au meurtre de leur chef, Big Jim.

Citations modifier

Guy Gisborne : Robbo s’alignera, ou on l’enterrera.
  • (en) Guy Gisborne : Robbo is in or he’s under.
  • Peter Falk, Les Sept Voleurs de Chicago (1964), écrit par David R. Schwartz


Guy Gisborne : S’il y en a parmi vous qui ont un problème, j’ai une petite boite à suggestion : six pieds de long, trois pieds de large. Elle est fabriquée en chêne ciré, avec poignets de cuivre, et doublé en satin blanc.
  • (en) Guy Gisborne : If anyone has a problem, I’ve got a special complaint box. I can put your whole body in there.
  • Peter Falk, Les Sept Voleurs de Chicago (1964), écrit par David R. Schwartz


Guy Gisborne : Combien croyez-vous que ça coûte une municipalité ? Dis-leur, Shérif, ce que ça me coûte.
  • (en) Guy Gisborne : What do you think it costs ? Tell him.
  • Peter Falk, Les Sept Voleurs de Chicago (1964), écrit par David R. Schwartz


Robbo : Ne quittes jamais ton étoile, mon vieux. Tu n'aurais sûrement pas le temps de la remettre à ton gilet.
  • (en) Robbo : You take that badge off, you won’t live to put it back.
  • Frank Sinatra, Les Sept Voleurs de Chicago (1964), écrit par David R. Schwartz


Robbo : Merci Gisborne, mais je préfère te garder comme ennemi. Tant que je pourrais pas te piffer, je saurai que j’ai du flair.
  • (en) Robbo : I’d rather keep you as an enemy. As long as I hate you, I’ve got taste.
  • Frank Sinatra, Les Sept Voleurs de Chicago (1964), écrit par David R. Schwartz


Robbo : Partir ainsi à la pêche au tueur, c’est comme se promener dans la jungle pendant la nuit : c’est plutôt dangereux.
  • (en) Robbo : Shop for a killer ? It’s walking in the jungle : you’llget hurt.
  • Frank Sinatra, Les Sept Voleurs de Chicago (1964), écrit par David R. Schwartz


Robbo : Les cimetières sont pleins de gens que j’ai aimé. Je ne suis pas pressé de m’inscrire encore à ce club.
  • (en) Robbo : The cemetery’s full of guys I liekd ! I ain’t ready to join that club.
  • Frank Sinatra, Les Sept Voleurs de Chicago (1964), écrit par David R. Schwartz


Little John  : Messieurs, je crois qu’on a un patron qui est un as ; de jour et de nuit. Il passe une soirée avec une nana, et le lendemain, elle lui envoie 50000 dollars.
  • (en) Little John  : I think Robo’s an old-time mechanic. Spends an evening with a doll, and she sends 50000 dollars.
  • Dean Martin, Les Sept Voleurs de Chicago (1964), écrit par David R. Schwartz


Dialogues modifier

Guy Gisborne : Est-ce qu’il y a quelqu’un ici qui aurait une petite idée sur qui doit devenir le nouveau patron ? La Tomate?
La Tomate : On pourrait mettre des noms dans un chapeau ?
Guy Gisborne : Ça c’est intelligent. Et ce chapeau, ce sera le tien parce que dans pas longtemps, tu auras plus ce qu’il faut pour le mettre dessus.

  • (en)

    Guy Gisborne : Is there anybody here that got any ideas who’s gonna be the new leader? Tomatoes?
    La Tomate : How about picking names out of a hat?
    Guy Gisborne : We’re gonna use your hat. Soon you’re gonna have nothing to wear it on.

  • Peter Falk, Jack La Rue, Les Sept Voleurs de Chicago (1964), écrit par David R. Schwartz


Guy Gisborne : Je veux profiter de cette circonstance pour prononcer quelques mots en l’honneur de notre cher vieil ami, qui a pris le départ si brutalement. Oui, j’ai connu Big Jim des années, et je peux dire ceci : voilà un homme qui n’avait pas un seul ennemi. Il avait des tas d’amis qui pouvaient pas le sentir, mais si on devait toujours plaire à tout le monde. Oui, il y a des personnes qui auraient traités Big Jim de fumier. Ils le traitaient même de flicard, ou de pas réglo. Il y a sûrement d’autres personnes qui n’auraient pas eu que des compliments à lui faire. Moi, tout ce que je peux dire, c’est : Big Jim, c’était un gars qui avait de la classe. Enfin, de l’extérieur, c’était un minable, mais chez lui, je veux dire, dans ses placards, cet homme-là avait 280 costards. Maintenant, je veux vous présenter Robbo. C’est un homme qui a été très proche de Big Jim dans le passé, et qui va être encore plus proche de lui dans quelques temps.
Robbo : Big Jim était un maitre à penser pour moi. Un jour, j’étais tout petit, il m’a pris en train de piquer les essuie-glaces de sa bagnole. Alors, il m’a dit : « Petit, ne voles jamais les essuie-glaces : voles toute la bagnole».

  • (en)

    Guy Gisborne : I want to throw in a few words about our friend that departed so suddenly. Now, I know Big Jim a long time, and I want to say : he did not have ennemies. He had a lot of friends that didn’t like hime, but you can’t please everybody. There was people calling hime a fink, a chiseler, a crooked hood. There was people that didn’t have nothing good to say. But I can tell you this : Big Jim had a…he was a very good dresser. I mean he looked mean on the outside, but inside, well inside his closest, he had 280 suits. Now, I want to introduce Robbo. Here’s a man that was very close to Big Jim in the past, and he might even be closer to him in the future.
    Robbo : Big Jim was an inspiration to me. When I was kid, he caught me stealing hubcaps off his car. He said : « don’t steal the hubcaps. Steal the whole car».

  • Peter Falk, Frank Sinatra, Les Sept Voleurs de Chicago (1964), écrit par David R. Schwartz


Robbo : Si tu jouais au billard en te servant de ta langue, tu te débrouillerais mieux.
Little John : J’ai essayé, mais je déteste le goût de la craie.

  • (en)

    Robbo : If you shot pool with your tongue, you’d be good.
    Little John : I can’t stand the taste of chalk.

  • Frank Sinatra, Dean Martin, Les Sept Voleurs de Chicago (1964), écrit par David R. Schwartz


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