Madeleine Vernet

éducatrice, écrivaine, et militante pacifiste libertaire française

Madeleine Vernet née Madeleine Eugénie Cavelier le 3 septembre 1878 et morte le 5 octobre 1949 est une éducatricde, écrivaine et pacifiste libertaire française.

Citations modifier

La raison profonde qui guide l’humanité n’est pas la douleur. Le secret instinct de nos âmes, c’est la sympathie, le grand désir de nos poitrines, c’est la joie.
  • La nouvelle équipe, Madeleine Vernet, éd. Éditions de la mère éducatrice, 1931, chap. Lettre-préface, p. 7-11 (texte intégral sur Wikisource)


C’est atroce de penser que, pour une haine factice et pour de stupides raisons, tant d’êtres qui aiment vont devenir des criminels et des victimes.
  • La nouvelle équipe, Madeleine Vernet, éd. Éditions de la mère éducatrice, 1931, chap. Première Partie. Sous le double signe de Mars et du Lion, p. 13-114 (texte intégral sur Wikisource)


Au service militaire, qui trouve sa consécration dans le meurtre, nous allons opposer le service civil destiné, lui, à soulager l’humanité.
  • La nouvelle équipe, Madeleine Vernet, éd. Éditions de la mère éducatrice, 1931, chap. Troisième Partie. La nouvelle équipe, p. 229-344 (texte intégral sur Wikisource)


Moi aussi j’ai bataillé pour les droits politiques des femmes, mais je tiens à dire ici que si c’est dans le sang des champs de bataille qu’il nous faut aller ramasser le bulletin de vote, je fais des vœux pour que nous ne l’obtenions jamais.
  • La nouvelle équipe, Madeleine Vernet, éd. Éditions de la mère éducatrice, 1931, chap. Troisième Partie. La nouvelle équipe, p. 229-344 (texte intégral sur Wikisource)


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