Miguel de Cervantes
Miguel de Cervantes Saavedra dit Miguel de Cervantes (29 septembre 1547 à Alcalá de Henares — 22 avril 1616 à Madrid est un écrivain espagnol connu universellement pour son roman Don Quichotte, reconnu comme le premier roman moderne. Miguel de Cervantes est souvent considéré comme la plus grande figure de la littérature espagnole.
NB. Les traductions de Florian petit-neveu de Voltaire, nous restituent la langue du XVIIIe siècle.
Citations propres à l'auteur
modifier- « Don Quichotte, II » (1615), dans Œuvres romanesques complètes, I, Miguel de Cervantes (trad. Jean Canavaggio), éd. Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », 2001 (ISBN 2-07-011423-6), p. 1409
- Don Quichotte, Cervantes (trad. Jean-Pierre Claris de Florian), éd. Éditions Baudelaire, 1965, p. Première partie, chap. I, page 32
- Don Quichotte, Cervantes (trad. Jean-Pierre Claris de Florian), éd. Éditions Baudelaire, 1965, p. Première partie, chap. IX, page 69
- Don Quichotte, Cervantes (trad. Jean-Pierre Claris de Florian), éd. Éditions Baudelaire, 1965, p. Première partie, chap. XIX, page 123
- Don Quichotte, Cervantes (trad. Jean-Pierre Claris de Florian), éd. Éditions Baudelaire, 1965, p. Première partie, chap. XXI, page 137
- Don Quichotte, Cervantes (trad. Jean-Pierre Claris de Florian), éd. Éditions Baudelaire, 1965, p. Première partie, chap. XXXI, page 208
- Don Quichotte, Cervantes (trad. Jean-Pierre Claris de Florian), éd. Éditions Baudelaire, 1965, p. Première partie, chap. XXXIV, page 221
- Don Quichotte, Cervantes (trad. Jean-Pierre Claris de Florian), éd. Éditions Baudelaire, 1965, p. Première partie, chap. XXXVIII, page 243
autres temps, mêmes mœurs !
« Conduits dans le vaisseau français, on prit tout ce que nous avions : les bracelets, les pierreries, les richesses de Zoraïde devinrent la proie des pirates. Après avoir tenu conseil sur ce qu’on ferait de nous, le capitaine, touché de compassion pour la jeunesse, pour la beauté de la chère Zoraïde, lui donna quarante écus d’or, nous abandonna son esquif avec quelques provisions et nous permit de gagner l’Espagne. Nous en étions peu éloignés ; nous y débarquâmes bientôt. Ce seul moment nous fit oublier tous nos périls, tous nos maux passés. Nous nous élançâmes sur le rivage, nous baisâmes cette terre chérie en la baignant de larmes de joie et, tendant les bras vers le ciel, nous le remerciâmes de ses bienfaits.»
- Don Quichotte, Cervantes (trad. Jean-Pierre Claris de Florian), éd. Éditions Baudelaire, 1965, p. Première partie, chap. XLI, page 261
- Don Quichotte, Cervantes (trad. Jean-Pierre Claris de Florian), éd. Éditions Baudelaire, 1965, p. Seconde partie, chap. IV, page 320
- Don Quichotte, Cervantes (trad. Jean-Pierre Claris de Florian), éd. Éditions Baudelaire, 1965, p. Seconde partie, chap. VI, page 325
- Don Quichotte, Cervantes (trad. Jean-Pierre Claris de Florian), éd. Éditions Baudelaire, 1965, p. Seconde partie, chap. X, page 344
- Don Quichotte, Cervantes (trad. Jean-Pierre Claris de Florian), éd. Éditions Baudelaire, 1965, p. Seconde partie, chap. XXXV, page 476
- Don Quichotte, Cervantes (trad. Jean-Pierre Claris de Florian), éd. Éditions Baudelaire, 1965, p. Seconde partie, chap. XXXVI, page 484
(…)
« Ne perds pas de vue que les erreurs d’un juge ne se réparent qu’aux dépens de sa réputation et de sa fortune, ou bien lui causent le chagrin plus grand de ne pouvoir être réparées. »
- Don Quichotte, Cervantes (trad. Jean-Pierre Claris de Florian), éd. Éditions Baudelaire, 1965, p. Seconde partie, chap. XXXVI, pages 486-487
- Don Quichotte, Cervantes (trad. Jean-Pierre Claris de Florian), éd. Éditions Baudelaire, 1965, p. Seconde partie, chap. XXXVI, page 489
- Don Quichotte, Cervantes (trad. Jean-Pierre Claris de Florian), éd. Éditions Baudelaire, 1965, p. Seconde partie, chap. LIII, page 567
Dont les nobles vertus égalaient le courage.
Hélas ! s’il n’eût été le plus charmant des fous,
On eût trouvé en lui des humains le plus sage.- Don Quichotte, Cervantes (trad. Jean-Pierre Claris de Florian), éd. Éditions Baudelaire, 1965, p. Seconde partie, chap. LV, page 580
D'autres auteurs le concernant
modifier- Guy Davenport préfaçant le tome III de Littératures — cours de littérature européenne professés par Vladimir Nabokov aux États-Unis entre 1941 et 1958
- Littératures (1980), Vladimir Nabokov (trad. Hélène Pasquier), éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 2010, partie Littératures III, p. 924
- Littératures (1980), Vladimir Nabokov (trad. Hélène Pasquier), éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 2010, partie Littératures III, p. 925