Robert McLiam Wilson

écrivain nord-irlandais

Robert McLiam Wilson est un écrivain nord-irlandais né en 1964.

Citations modifier

Ne vous y trompez pas, mes si cartésiens Français chéris, vous êtes engagés dans une guerre à la con contre des connards sans cervelle. Du vide figé dans une posture, rempli de semi-arguments malinformés, empruntés à d’autres débats, d’autres conflits.
  • « Robert McLiam Wilson et les attentats de Paris : “La vérité est moche, et accablante. Il n’y a pas de consolation” », Robert McLiam Wilson, Les Inrockuptibles, 17 novembre 2015 (lire en ligne)


Ce n’est pas que le FN a gagné, c’est qu’il occupe un espace pas défendu. L’unique but des intellos d’ex-gauche étant quasi exclusivement de pleurnicher et d’anathémiser d’autres intellos décrétés louches. De les placer sans équivoque dans le camp idéologique ennemi. Comme si à ce jeu étrange, celui qui gagne était celui qui ajoute le plus de joueurs à l’équipe adverse.
  • « Finkie, la guerre des apparences et moi », Robert McLiam Wilson (trad. Myriam Anderson), Libération, 17 décembre 2015 (lire en ligne)


Vous pensez vraiment que les gens qui tirent le diable par la queue dans les villes anciennement industrielles du Nord de la France en ont quelque chose à foutre de vous, de moi, ou de Finkie ? Ils nous méprisent ou nous trouvent sans intérêt. Et ce dédain leur revient de plein fouet.
  • « Finkie, la guerre des apparences et moi », Robert McLiam Wilson (trad. Myriam Anderson), Libération, 17 décembre 2015 (lire en ligne)


La politique est un jeu de persuasion. Un jeu que nous avons cessé de jouer. Il est temps pour l’ex-gauche de ne plus être ex. Il est temps de plaider la cause. Y a-t-il quelqu’un pour penser que la cause a été plaidée ? Vraiment ?
  • « Finkie, la guerre des apparences et moi », Robert McLiam Wilson (trad. Myriam Anderson), Libération, 17 décembre 2015 (lire en ligne)