« Christoph Blocher » : différence entre les versions

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[[File:Christoph Blocher (Bundesrat, 2004, (shot in 2006)).jpg|thumb|upright|Christoph Blocher]]
'''{{w|Christoph Blocher}}''', né le {{Date|11|octobre|1940}} à [[w:Schaffhouse|Schaffhouse]], est une {{cat|personnalité politique}} {{cat|personnalité [[suisse]]|suisse}} membre de l'[[w:Union démocratique du centre|Union démocratique du centre]] et ancien [[conseiller fédéral]].
 
== Citations ==
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{{citation|citation=Il y a quelques semaines encore, il était clair aux yeux des grandes banques suisses, de la Commission fédérale des banques (CFB), de la Banque nationale suisse et du Conseil fédéral que nos grandes banques surmonteraient les difficultés sans aide de l'Etat. Or, après les interventions publiques drastiques aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne notamment, la Suisse était tout à coup quasiment la seule place financière du monde où l'Etat ne garantissait pas la sécurité des grandes banques. L'Angleterre et les Etats-Unis avaient tout à coup des banques plus sûres que la Suisse. Pour empêcher un reflux de fonds vers les banques de ces pays, la Suisse devait agir. Il s'agissait de montrer au monde que la Suisse soutient sa place financière et qu'elle est prête à s'engager pour elle en cas de besoin.}}
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{{Réf Article
|titre=La voie suisse dans la crise financière mondiale
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{{citation|citation=La Banque nationale a donc décidé de reprendre à l'UBS des titres dont la valeur est menacée, c'est-à-dire d'ouvrir un crédit de 60 milliards de francs pour la création d'une société ad hoc. Il s'agit là d'un crédit qui doit être remboursé. Dans le meilleur des cas, la Banque nationale peut faire une bénéfice. Il se s'agit pas d'une dépense de l'Etat. De plus, la Confédération souscrit un emprunt à conversion obligatoire. Elle est donc prête à devenir un important actionnaire de l'UBS. La souscription d'un emprunt à conversion obligatoire n'est pas un cadeau à la banque, mais un investissement. Il va de soi qu'elle comporte aussi un certain risque comme tout investissement. L'avenir montrera si cette action est fructueuse. Il ne s'agit pas non plus dans ce cas d'une dépense de l'Etat. Ces deux mesures ne coûtent rien au contribuables. La Confédération et la Banque nationale doivent tout mettre en oeuvre pour qu'il en résulte un bénéfice.}}
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|titre=La voie suisse dans la crise financière mondiale
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{{citation
|citation=Chez nous, le pouvoir suprême de l'Etat est constitué par les citoyens. Ces citoyens ne se contentent pas de voter, mais ils veulent aussi décider eux-mêmes leurs lois et impôts. Ce n'est qu'au deuxième échelon hiérarchique que le Parlement intervient en tant que partie législative et le troisième échelon de la hiérarchie est constitué par le Conseil fédéral placé sous le Parlement. Comme vous pouvez le constater, mon éviction du Conseil fédéral m'a permis de rmonter du 3e échelon hiérarchique du Conseil fédéral au 1er échelon, c'est-à-dire à l'endroit où la principale tâche consiste à assumer le contrôle et à observer de près les agissements des politiciens et du gouvernement à Berne pour qu'il ne bernent pas les citoyens!
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{{Réf Article
|titre=La lutte pour l'indépendance et la neutralité est d'une grande actualité
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|date=2008
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{{citation
|citation=pour les gouvernants, la neutralité signifie aussi souvent "se tenir tranquille". La neutralité, c'est "se tenir en retrait" dans les conflits internationaux. La neutralité, c'est jouer le rôle d'intermédiaire de manière impartiale au lieu de prendre parti. Ce n'est donc pas un concept pour des membres du gouvernement qui cherchent à se profiler!
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{{Réf Article
|titre=La lutte pour l'indépendance et la neutralité est d'une grande actualité
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|date=2008
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{{citation
|citation=Quelles sont les raisons pour lesquelles on néglige si manifestement l’indépendance de notre Etat? Cela s’explique par le fait que le maintien de l’indépendance de notre pays est une contrainte pour ceux qui nous gouvernent. Conserver l’indépendance signifie être en mesure de résoudre soi-même les problèmes de son pays. Comme chacun le sait, cela est laborieux et peu commode et surtout: on doit assumer soi-même la responsabilité. On est responsable vis-à-vis des citoyens! Notre gouvernement cherche soigneusement à éviter cela. On veut les fonctions et les honneurs, mais de préférence sans les contraintes qui les accompagnent.
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{{Réf Article
|titre=La lutte pour l'indépendance et la neutralité est d'une grande actualité
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|date=2008
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{{citation
|citation=Mais de nos jours, ce principe est aussi foulé des pieds. Il va de soi que l’on ne le fait pas ouvertement, mais de manière cachée: on sait en effet que les citoyens tiennent rigoureusement à conserver la neutralité. Les citoyens souhaitent une Suisse neutre. Comme les autorités savent pertinemment que les citoyens tiennent à leur neutralité, elles se prononcent toujours «en principe» pour la neutralité. Mais ensuite, il se passe en phénomène bien connu dans les milieux politiques: l’approbation de principe est la forme le plus polie du refus. On évoque alors de manière euphémique la «neutralité active». Ce terme doit permettre aux autorités de s’activer sur le plan international. Quoi qu’on fasse, on va déclarer ensuite que
cela est compatible avec la neutralité. On crée de la sorte un internationalisme écervelé qui est actuellement très en vogue chez nous.
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{{Réf Article
|titre=La lutte pour l'indépendance et la neutralité est d'une grande actualité
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{{citation
|citation=Que l’on me comprenne bien: la question qui nous intéresse ici n’est pas de savoir si le droit international doit imposer certaines limites au droit national ou au droit constitutionnel, comme l’interdiction de la torture ou de l’esclavage par exemple. Ces questions-là sont incontestées. Non, à l’heure actuelle, le problème réside dans le fait que l’on cherche à étendre de plus en plus le droit international pour annuler le droit décidé par les citoyens suisses.
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{{Réf Article
|titre=La lutte pour l'indépendance et la neutralité est d'une grande actualité
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|date=2008
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{{citation
|citation=Il est évident que la nouvelle réglementation demandée par le Tribunal fédéral facilite massivement l’octroi de la nationalité suisse car l’autorité communale sait qu’en cas de doute, elle sera obligée de naturaliser. Sinon, il se pourrait qu’elle doive affronter les affres de longs procès devant les tribunaux. Pour éviter des litiges juridiques fastidieux et compliqués, on décidera en cas de doute à l’avenir de naturaliser l’étranger. Il va sans dire que cela favorisera les naturalisations en masse. Les demandes de naturalisation mal étudiées entraînent la naturalisation de criminels et de personnes qui tomberont à la charge de l’assistance sociale.
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{{Réf Article
|titre=La lutte pour l'indépendance et la neutralité est d'une grande actualité
Ligne 183 ⟶ 135 :
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|date=2008
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}}
 
{{citation
|citation=Nous envisageons de saisir le Conseil de sécurité de l'ONU à propos de la prise d'otages dont s'est rendue coupable la Libye. Nous envisageons aussi d'exiger que la Suisse rompe toute relation diplomatique avec la Libye. Ce n'est pas encore fait, mais nous examinons la question au sein de la direction de l'UDC. (...) Il faut bien réfléchir. Maintenant que les otages sont rentrés, il n'y a plus d'urgence. Nous ne voulons pas d'un avis de droit qui nous donnerait raison, mais qui ne serait suivi d'aucun effet! [Il convient également de tester] l'utilité d'être membre des Nations Unies, dont l'ex-conseiller fédéral Joseph Deiss sera le prochain président de l'assemblée générale.
|langue=fr
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|précisions=A propos de la [[Crise diplomatique entre la Suisse et la Libye (2008-2010)]]}}
|langue=français
|précisions=A propos de la [[Crise diplomatique entre la Suisse et la Libye (2008-2010)]]
}}
{{Réf Article
|titre=Berne a tenté d'exfiltrer les otages plusieurs fois.
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|date=19-20 juin 2010
|page=3
|ISSN=1010-2248}}
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}}
 
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{{DEFAULTSORT:Blocher, Christophe}}
[[Catégorie:Naissance en 1940]]
[[Catégorie:Homme]]
[[Catégorie:PersonnalitéNaissance politiqueen 1940]]
[[Catégorie:Personnalité suisse]]
[[Catégorie:NaissancePersonnalité en 1940politique]]
 
[[de:Christoph Blocher]]