« Baise-moi » : différence entre les versions

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Page créée avec « '''''Baise-moi''''' est un roman francophone de Virginie Despentes paru en 1992. ==Citations== {{Citation|cita... »
 
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|année d'origine= 1993}}
 
{{Citation|citation= {{Personnage|Manu}} : Plus tu baises, moins tu cogites et mieux tu dors.}}
{{Citation|citation= Fatima n'ose pas leur demander si elles couchent ensemble. C'est à ça qu'on pense quand on les voit. Elles ne se touchent jamais mais gardent un œil l'une sur l'autre, se cherchent à tout instant. Quand elles rient, c'est toujours de la même chose, et leurs corps se rapprochent souvent. Quand l'une allume une clope, elle en tend une à sa comparse, sans même s'interrompre, naturellement. Elles se coupent la parole sans arrêt, ou plutôt elles parlent à deux. Elles remplissent toujours les deux verres. Sans s'en rendre compte. Elles ont les mêmes mots, les mêmes expressions. De la connivence presque tangible. Elles ressemblent à une bête à deux têtes, séduisante au bout du compte. Fatima à du mal à s'imaginer qu'elles ne se connaissent que depuis une semaine. Elle aurait du mal à les dissocier, les imaginer l'une sans l'autre.
}}
 
{{Réf Livre
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|année d'origine= 1993}}
 
 
{{Citation|citation= {{Personnage|Manu}} : Putain, j'y crois pas une seule seconde. Ce connard croyait que j'allais lui avaler tout son foutre et je lui ai gerbé sur le chibre. Dommage pour lui. Au mauvais endroit, au mauvais moment...
{{Citation|citation= Fatima n'ose pas leur demander si elles couchent ensemble. C'est à ça qu'on pense quand on les voit. Elles ne se touchent jamais mais gardent un œil l'une sur l'autre, se cherchent à tout instant. Quand elles rient, c'est toujours de la même chose, et leurs corps se rapprochent souvent. Quand l'une allume une clope, elle en tend une à sa comparse, sans même s'interrompre, naturellement. Elles se coupent la parole sans arrêt, ou plutôt elles parlent à deux. Elles remplissent toujours les deux verres. Sans s'en rendre compte. Elles ont les mêmes mots, les mêmes expressions. De la connivence presque tangible. Elles ressemblent à une bête à deux têtes, séduisante au bout du compte. Fatima à du mal à s'imaginer qu'elles ne se connaissent que depuis une semaine. Elle aurait du mal à les dissocier, les imaginer l'une sans l'autre.
}}
 
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|année=2005
|partie=2
|chapitre=2320
|page=208188
|année d'origine= 1993}}
 
{{Réf Livre
|titre=Baise-moi
|auteur=Virginie Despentes
|éditeur=jailu
|année=2005
|partie=2
|chapitre=25
|page=219
|année d'origine= 1993}}