« Émile Flourens » : différence entre les versions

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{{citation
|citation=Mais toute constitution implique une souveraineté au-dessus de ceux qui se soumettent à ses lois. Si vous constituez des pouvoirs internationaux, il faut les armer d'instruments emcaces contre la révolte. Il y aurait des Nations rebelles. La répression aurait donc à s'imposer. A qui incomberait-elle? Assurément à la nation la plus forte ou au concert des plus forts. Quel en serait au bout du compte le résultat ? Simplement de légaliser le domaine de la force, en le substituant à celui de l'équilibre des souverainetés. Et voici comment la paix à outrance, en croyant embrasser la justice au lieu de l'arbitrage, finirait par mettre la force à la place du droit.
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|précisions=Citant José Vicente Barbosa du Bocage
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{{Réf Livre
|titre=Un fiasco maçonnique à l'aurore du vingtième siècle de l'ère chrétienne
|auteur=Émile Flourens
|éditeur=Imprimerie-librairie L. Croix
|année=1912
|page=39
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