« Charles Maurras » : différence entre les versions

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|année=1921
|page=xix
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{{citation
|citation=Non seulement il ne vaut pas la peine de désirer une pareille République, mais il importe de la haïr comme le plus dangereux des pièges tendus à la France par nos ennemis du dehors et du dedans. Son rêve peut flatter l’imagination par un air résigné et conciliateur. Mais ce n’est rien qu’un rêve, médiocre en lui-même et, par ses conséquences, fou. Personne n’a le droit d’exposer la patrie pour un conte bleu. Il faut que les Français puissent s’en rendre compte. Disons-le leur, et rudement, pour qu’on ne les voie plus s’asseoir ni hésiter à ce carrefour de l’action.
}}
{{Réf Livre
|titre=Kiel et Tanger
|auteur=Charles Maurras
|éditeur=Édition électronique
|année=1921
|page=5
}}