« Action française » : différence entre les versions

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|chapitre=IV
|section=Le suffrage universel
}}
 
{{citation
|citation=L'Action française dont le nationalisme ne pouvait pas se cantonner sur le terrain constitutionnel, résolue à réaliser son nationalisme dans la constitution politique de l'État français, se dit intégrale parce que la solution monarchique satisfait à tous les besoins du pays, comme une intégrale en mathématiques, représente la somme de toutes les valeurs d'une fonction algébrique.
|précisions=[[Bernard de Vesins]], Congrès d'Action française, novembre 1926, cité par
}}
{{Réf Livre
|titre=L'Action Française devant l'Eglise
|auteur={{w|Lucien Thomas}}
|éditeur=Almanach d'Action Française
|année=
|page=
|ISBN=
|année d'origine=
|collection=
|chapitre=
|section=
}}
 
{{citation
|citation=J'ai adoré le romantisme et j'ai cru à la Révolution. Et maintenant, je songe avec inquiétude que l'homme qui, non tout seul assurément, mais plus que personne, je crois, se trouve avoir fait et préparé chez nous la Révolution et le romantisme, fut un étranger, un perpétuel malade et finalement un fou.
|précisions={{w|Jules Lemaître}} lors d'une conférence à {{w|Paris}} en {{w|1909}}, cité par
}}
{{Réf Livre
|titre=Histoire de l'Action Française
|auteur={{w|Robert Havard de La Montagne}}
|éditeur=Amiot-Dumont
|année=1950
|page=64
|ISBN=
|année d'origine=
|collection=
|chapitre=V
|section=
}}
 
{{citation
|citation=Que le patriotisme ait pu s'accorder avec l'esprit de justice, avec l'esprit de paix, avec l'esprit juridique et humanitaire, personne ne l'a jamais contesté. Le fait fréquent, le fait normal, c'est bien cela, mais tout autre est le fait intéressant, le fait sur lequel on discute, sur lequel on hésite, sur lequel on s'est divisé. Ce fait et ce cas privilégié, c'est le fait de désaccord, le cas de conflit entre l'intérêt national et l'intérêt juridique, entre les
exigences de la patrie ou de l'État et celle de l'humanité. Nous dirons parbleu : la patrie et l'humanité, mais quand les évènements disent la patrie ou l'humanité, que faut-il faire en ce cas là ? Ceux qui disent comme nous l'avons dit avant M. de Bornier : France d'abord sont les patriotes ; ceux qui disent : la France mais sont les humanitaires. Les humanitaires ne sacrifient pas la France à l'humanité, ils se contentent de l'y soumettre.
|précisions=
}}
{{Réf Livre
|titre=Quand les Français ne s'aimaient pas
|auteur={{w|Charles Maurras}}
|éditeur=
|année=1916
|page=293
|ISBN=
|année d'origine=
|collection=
|chapitre=
|section=
}}
 
{{citation
|citation=L'Action Française se résume en un but, une méthode et une conclusion.<br />
Le but, c'est le salut public, c'est le bien de la France.<br />
La méthode, c'est l'observation et l'expérience.<br />
L'enseignement de cette expérience, c'est la répudiation de la démocratie par amour du peuple et du libéralisme par amour des libertés et la restauration de la monarchie capétienne, comme la condition du salut de notre pays.<br />
Des critiques même graves et justes n'empêcheraient point que le but soit sain, la méthode bonne et la conclusion vraie.
|précisions=
}}
{{Réf Livre
|titre=Maurras et le nationalisme de l'Action française
|auteur=Marquis {{w|Marie de Roux}}
|éditeur=Bernard Grasset
|année=1927
|page=267
|ISBN=
|année d'origine=
|collection=
|chapitre=Conclusion
|section=
}}