« Fée » : différence entre les versions
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== [[William Shakespeare]], ''Le songe d’une nuit d’été''==
{{citation
|citation=Fées, répandez partout la rosée sacrée des champs}}
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|citation=La bonne grâce est le vrai don des fées ; sans elles on ne peut rien, avec elles on peut tout }}
{{Réf Livre|titre=Les contes de Perrault et les récits parallèles: leurs origines : coutumes primitives et liturgies populaires|auteur=Pierre Saintyves, Charles Perrault|éditeur=Slatkine|année=1990|page=111|isbn=9782051010979}}
== [[Jules Renard]], ''Journal''==▼
{{citation▼
|citation=Les fées nous échappent. Elles sont radieuses et on ne peut les saisir, et ce qu’on ne peut avoir on l’aime éternellement.}}▼
{{Réf Livre|titre=Journal|auteur=Jules Renard|éditeur=Gallimard|année=1935|page=25|isbn=}}▼
== [[Voltaire]], ''Ce qui plaît, etc.''==
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Livrent nos cœurs à l'insipidité}}
{{Réf Livre|titre=Œuvres complètes de Voltaire|auteur=Voltaire|éditeur=Mme ve Perronneau, Cerioux aîne|année=1817|page=173|isbn=}}
== [[Sébastien-Roch Nicolas de Chamfort]], ''Maximes, pensées, anecdotes, caractères et dialogues''==
▲{{citation
|citation=Un homme amoureux, qui plaint l’homme raisonnable, me paraît ressembler à un homme qui lit des contes de fées, et qui raille ceux qui lisent l’histoire.}}
{{Réf Livre|titre=Maximes, pensées, anecdotes, caractères et dialogues: Précédé de l'histoire de Chamfort par P.-J. Stahl. Suivi de fragments complètements inédits|auteur=Sébastien-Roch Nicolas de Chamfort|éditeur=M. Lévy|année=1857|page=70|isbn=}}
▲== [[Jules Renard]], ''Journal''==
{{citation
▲|citation=Les fées nous échappent. Elles sont radieuses et on ne peut les saisir, et ce qu’on ne peut avoir on l’aime éternellement.}}
▲{{Réf Livre|titre=Journal|auteur=Jules Renard|éditeur=Gallimard|année=1935|page=25|isbn=}}
== [[Robert Lalonde]], ''Le diable en personne''==
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