« Daniel Boulanger » : différence entre les versions
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{{citation|J’ai dix-neuf ans et je n’ai pas encore compris ma mère, ses caresses, sa sucrerie, ses mamours, puis ses refus, ses silences suivis de larmes, et de nouveau l'œil en coulisse et ses appels à la raison.}}
{{Réf Livre
|titre
|titre=Table d’hôtes
|auteur=Daniel Boulanger
|éditeur=Gallimard
Ligne 14 ⟶ 15 :
- Elle m’a toujours refusé son entrée. La mère ne serait-ce donc qu’une sortie ? Une porte doit se pousser dans les deux sens il me semble.</poem>}}
{{Réf Livre
|titre
|titre=Table d’hôtes
|auteur=Daniel Boulanger
|éditeur=Gallimard
Ligne 29 ⟶ 31 :
- Un ennui double alors, dit le docteur, un ennui de luxe. Ce qui n’est déjà plus l’ennui pur.</poem>}}
{{Réf Livre
|titre
|titre=Table d’hôtes
|auteur=Daniel Boulanger
|éditeur=Gallimard
Ligne 37 ⟶ 40 :
{{citation|Macha est ma meilleure amie, mais elle n’est pas à mon service. L’ennui est pareil à la lampe que la police vous dirige dans l’oeil et qui suit chacun de vos mouvements. Il arrive qu’une amie passer entre elle et nous. Cela soulage, mais un si court instant ! L’amie est toujours de hasard, avez-vous remarqué ?}}
{{Réf Livre
|titre
|titre=Table d’hôtes
|auteur=Daniel Boulanger
|éditeur=Gallimard
Ligne 45 ⟶ 49 :
{{citation|Jules Serigny depuis longtemps n’a plus d’âge. On dirait un de ces petits meubles de coin que de temps en temps on lui apporte, bancal, retrouvé dans un grenier, mais il ne peut plus se cheviller, se redresser d’aplomb. Son âme grince.}}
{{Réf Livre
|titre
|titre=Table d’hôtes
|auteur=Daniel Boulanger
|éditeur=Gallimard
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