« Pierre de Ronsard » : différence entre les versions
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{{réf Livre|titre de la contribution=Sonnets pour Hélène|titre=Les œuvres de Pierre de Ronsard|année=1609|éditeur=Buon|auteur=Pierre de Ronsard|page=281|section=poème XLII|année d'origine=1578
|s=Quand vous serez bien vieille, au soir, à la chandelle}}
== Les Amours ==
{{citation|
<poem>Marie, qui voudroit vostre beau nom tourner,
Il trouveroit Aimer
</poem>}}
{{réf Livre|titre=Les Amours|année=1981|éditeur=Flammarion|auteur=Pierre de Ronsard|page=159|année d'origine=1552}}
{{citation|<poem>Veu que tu es plus blanche que le liz,
Qui t’a rougy ta lèvre vermeillette ?
D’un si beau teint qui est-ce qui t’a mis
Sur ton beau sein cette couleur rougette ?
Qui t’a noircy les arcs de tes sourcis ?
Qui t’a bruny tes beaux yeux, ma maistresse ?
</poem>}}
{{réf Livre|titre=Les Amours|année=1981|éditeur=Flammarion|auteur=Pierre de Ronsard|page=195|année d'origine=1552}}
{{citation|<poem>Quand de ta levre à demy-close
(come entre deux fleuris sentiers)
Je sens ton haleine de rose,
Mes levres, les avant portiers
Du baiser, se rougissent d'aize
</poem>}}
{{réf Livre|titre de la contribution=Baiser|titre=Les Amours|année=1981|éditeur=Flammarion|auteur=Pierre de Ronsard|page=405|année d'origine=1552}}
== Derniers vers ==
{{citation|<poem>Je n'ai plus que les os un squelette je semble
Décharné, dénervé, démusclé, dépoulpé,
Que le trait de la Mort sans pardon a frappé,
Je n'ose voir mes bras que de peur je tremble.
</poem>}}
{{réf Livre|titre=Ronsard par lui-même|année=1960|éditeur=Seuil|collection=Ecrivains de toujours|auteur=Gilbert Gadoffre|page=177}}
{{interprojet|s=Pierre de Ronsard|commons=Pierre de Ronsard|w=Pierre de Ronsard}}
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