« Henry David Thoreau » : différence entre les versions
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== ''Walden, ou la vie dans les bois'' (1854) ==
{{citation|Je n’entends pas écrire une ode à la dépression, dit-il encore à propos de Walden, mais chanter victoire aussi vigoureusement que Chanteclerc au matin, debout sur son perchoir, quand ce ne serait que pour réveiller mes voisins.}}
{{Réf Livre|titre=Walden or Life in the woods
|auteur=Henry David Thoreau
|éditeur=Gallimard
|année=1990
|page=Épigraphe
|chapitre=
|langue=en
|ISBN=978-2070715213
|traducteur=Louis Fabulet
|collection=L'Imaginaire
}}
{{citation|Un lac est le trait le plus beau et le plus expressif du paysage. C'est l'œil de la terre, où le spectateur, en y plongeant le sien, sonde la profondeur de sa propre nature.}}
▲{{citation|Je n’entends pas écrire une ode à la dépression, dit-il encore à propos de Walden, mais chanter victoire aussi vigoureusement que Chanteclerc au matin, debout sur son perchoir, quand ce ne serait que pour réveiller mes voisins.}} (épigraphe)
{{Réf Livre|titre=Walden or Life in the woods
|auteur=Henry David Thoreau
|éditeur=Gallimard
|année=1990
|page=215
|chapitre=IX
|langue=en
|ISBN=978-2070715213
|traducteur=Louis Fabulet
|collection=L'Imaginaire
}}
{{citation|Je possède ainsi une maison recouverte étroitement de bardeaux et de plâtre, de dix pieds de large sur quinze de long, aux jambages de huit pieds, pourvue d'un grenier et d'un appentis, d'une grande fenêtre de chaque côté, de deux trappes, d'une porte à l'extrémité, et d'une cheminée de briques en face.}}
▲{{citation|Un lac est le trait le plus beau et le plus expressif du paysage. C'est l'œil de la terre, où le spectateur, en y plongeant le sien, sonde la profondeur de sa propre nature.}} (Chapitre IX, « Les étangs », p. 215)
{{Réf Livre|titre=Walden or Life in the woods
|auteur=Henry David Thoreau
|éditeur=Gallimard
|année=1990
|page=60
|chapitre=I
|langue=en
|ISBN=978-2070715213
|traducteur=Louis Fabulet
|collection=L'Imaginaire
}}
{{citation|Il y avait suffisante pâture pour mon imagination. Le plateau bas de chênes arbrisseaux jusqu'où s'élevait la rive opposée de l'étang, s'étendait vers les prairies de l'Ouest et les steppes de la Tartarie, offrant place ample à toutes les familles d'hommes vagabondes.}}
▲{{citation|Je possède ainsi une maison recouverte étroitement de bardeaux et de plâtre, de dix pieds de large sur quinze de long, aux jambages de huit pieds, pourvue d'un grenier et d'un appentis, d'une grande fenêtre de chaque côté, de deux trappes, d'une porte à l'extrémité, et d'une cheminée de briques en face.}} (Chapitre I, « Économie », p. 60)
{{Réf Livre|titre=Walden or Life in the woods
|auteur=Henry David Thoreau
▲{{citation|Il y avait suffisante pâture pour mon imagination. Le plateau bas de chênes arbrisseaux jusqu'où s'élevait la rive opposée de l'étang, s'étendait vers les prairies de l'Ouest et les steppes de la Tartarie, offrant place ample à toutes les familles d'hommes vagabondes.}} (Chapitre II, « Où je vécus, et ce pourquoi je vécus », p. 103)
|éditeur=Gallimard
|année=1990
|page=103
|chapitre=II
|langue=en
|ISBN=978-2070715213
|traducteur=Louis Fabulet
|collection=L'Imaginaire
}}
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