« Daniel Boulanger » : différence entre les versions

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== ''Mes coquins'', 1990 ==
 
{{citation|Paris avait le tein d'une empoisonnée, et Charles qui l'aimait toujours lui en voulait, lui rappelait son collier d'émeraudes, ses fines soies grises et qu'elle ne pouvait oublier qu'aucune autre ville n'avait eu plus d'amants, et de si fidèles.}}
{{Réf Livre
|titre=Mes coquins
|auteur=Daniel Boulanger
|éditeur=Gallimard
|année=1990
|page=69}}
 
{{citation|Si j'écrivais un roman policier, moi, on n'arrêterait pas le coupable, car dans la vie on n'arrête jamais le vrai coupable, il faudrait nous arrêter tous !}}
{{Réf Livre
|titre=Mes coquins
|auteur=Daniel Boulanger
|éditeur=Gallimard
|année=1990
|page=76-77}}
 
{{citation|La délation est le premier devoir d'un républicain. Les bons auteurs vous le diront. C'est aussi le premier article de la tyrannie.}}
{{Réf Livre
|titre=Mes coquins
|auteur=Daniel Boulanger
|éditeur=Gallimard
|année=1990
|page=125}}
 
{{interprojet|w=Daniel Boulanger}}