« Claude Fauriel » : différence entre les versions

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{{citation|De même que c'était un des devoirs du chevalier de combattre pour la défense de la foi chrétienne, c'était une des fonctions du poëte de l'exciter à l'accomplissement de ce devoir. Il règne un véritable enthousiasme de religion et de guerre dans plusieurs des chants provençaux sur les croisades contre les Musulmans, particulièrement contre ceux d'Afrique et d'Espagne. La lutte avec ces derniers était celle à laquelle les troubadours prenaient l'intérêt le plus vif et le plus direct, à laquelle se rattachaient leurs souvenirs les plus poétiques. Encore au douzième siècle, il y eut, dans cette lutte, des moments de crise et de péril pour les royaumes chrétiens de l'Es
pagne ; des troubadours célèbres firent entendre, en ces occasions, de nobles accents, dont il y a lieu de croire que l'effet ne fut pas inutile à la cause chrétienne.}}
{{réf Livre
|auteur=[[:w:Claude Fauriel|Claude Fauriel]]
|titre=Histoire de la poésie Provençale
|éditeur=J. Labitte
|année=1846
|volume=1
|page=12-13}}
 
{{citation|Aussi braves que les chrétiens, les Arabes étaient beaucoup plus civilisés, et ce fut incontestablement d'eux que vinrent, dans le cours de la guerre, les premiers exemples d'héroïsme, d'humanité, de générosité pour les adversaires, en un mot de quelque chose de chevaleresque, bien avant que la chevalerie eût un nom et des formules consacrées.}}