« Paul Léautaud » : différence entre les versions
Contenu supprimé Contenu ajouté
+1 |
m qqs coquilles |
||
Ligne 108 :
|page=115}}
{{citation|citation= Fini, bien fini, ce pauvre Jarry. Malade, détraqué par les privations, l'alcoolisme et la masturbation, incapable de gagner sa vie en aucune façon, ni avec un emploi, ni par une collaboration quelconque à un journal. On l'avait fait entrer il y a deux ou trois ans au Figaro il ne faisait rien, ou ce qu'il faisait était illisible. Couvert de dettes et déjà un peu fou, il y a un an on avait organisé au Mercure la publication, à tirage restreint et très cher, d'un mince ouvrage de lui. Cela lui
|précisions=23 janvier 1907}}
{{Réf Livre
Ligne 201 :
|page=386-387}}
{{citation|citation= Les journaux sont pleins depuis quelques jours de la mort d'un sieur Cognacq, fondateur et directeur de la Samaritaine, de l'histoire de ses débuts avec sa femme, de sa réussite, de sa munificence testamentaire: millions à l'Académie pour des prix aux gens ayant fait beaucoup d'enfants, collections de tableaux à l'État, etc., etc. Cela peint encore notre époque, l'étonnante bêtise qui la caractérise. Un personnage de ce genre est à vomir, ni plus ni moins, à vomir, il n'y a pas d'autre mot, et cette apothéose admirative du petit boutiquier parti sans un sou et devenu millionnaire, mécène et bienfaiteur de l'humanité est une farce
|précisions=27 février 1928, mort de Cognacq, fondateur de la Samaritaine.}}
{{Réf Livre
Ligne 210 :
|page=238}}
{{citation|citation= Une jolie bouffonnerie littéraire, c'est la réputation de ce professeur, dont le nom
|précisions=30 janvier 1929}}
{{Réf Livre
Ligne 255 :
|année=1962
|page=292}}
=== Faits et événements ''accrochés'' par le ''Journal'' ===
|