« Le Cercle des poètes disparus » : différence entre les versions

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{{citation|On lit ou on écrit de la poésie non pas parce que c'est joli. On lit et on écrit de la poésie parce que l'on fait partie de l'humanité, et que l'humanité est faite de passions. La médecine, le droit, le commerce et l'industrie sont de nobles poursuites, et elles sont nécessaires pour assurer la vie. Mais la poésie, la beauté, l'amour, l'aventure, c'est en fait pour cela qu'on vit. Pour citer Whitman : « Ô moi ! Ô la vie ! Tant de questions qui m'assaillent sans cesse, ces interminables cortèges d'incroyants, ces cités peuplées de sots. Qu'y a-t-il de beau en cela ? Ô moi ! Ô la vie ! ». Réponse : que tu es ici, que la vie existe, et l'identité. Que le prodigieux spectacle continue et que tu peux y apporter ta rime. Que le prodigieux spectacle continue et que tu peux y apporter ta rime... Quelle sera votre rime ?}}
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{{personnage|Neil Perry}} : Pour communiquer ?
{{personnage|John Keating}} : Non ! Pour courtiser les femmes !
<poem/poem>}}
{{réf Film|titre=Le Cercle des poètes disparus
|auteur=Tom Schulman
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{{personnage|Charles Dalton}} : Je fais valoir mon droit à l'immobilité.
{{personnage|John Keating}} : Merci, Monsieur Dalton. Clair, succinct... Bien. Vous nagez à contre-courant.
<poem/poem>}}
{{réf Film|titre=Le Cercle des poètes disparus
|auteur=Tom Schulman