« Le frère André : l'histoire de l'obscur portier qui allait accomplir des miracles » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
Olyvar (discussion | contributions)
m + catégories
WikiMart (discussion | contributions)
m Remplacé le texte sous les photos (déjà disponbile sur Wikipédia) par des citations.
Ligne 1 :
[[Fichier:Frère André 1920.jpg|thumb|Le« ''Je frèren'y Andrésuis verspour 1920rien ; c'est saint Joseph qui se sert de moi pour guérir. Je ne suis que son petit chien.'' »]]
 
'''''Le frère André : l'histoire de l'obscur portier qui allait accomplir des miracles''''' est une biographie de {{w|Micheline Lachance}} publiée aux {{w|Éditions de l'Homme}}. Rédigée dans un style quelque peu romanesque — eu égard aux nombreux dialogues qu'elle contient — cette biographie raconte la vie d'Alfred Bessette (1845-1937), dit {{w|Frère André Bessette|frère André}}, qui le 17 octobre 2010 fut le premier Canadien à devenir saint. D'abord écrite en 1979, l'œuvre de Micheline Lachance fut augmentée et mise à jour en 2010 afin d'y intégrer tout le processus qui mena à la {{w|canonisation}} de saint frère André. Les citations suivantes sont tirées de ce dernier ouvrage.
 
Ligne 125 ⟶ 124 :
 
== Interdit de toucher aux malades ==
[[Fichier:Saint André Bessette.jpg|thumb|left|200px|Le« ''Quand frèreje Andréserai mort, je vais être rendu au crépusculeciel et je serai plus près du bon Dieu que je ne le suis maintenant. J'aurai bien plus de sespouvoir pour vous joursaider.'' »]]
{{citation|citation=Quinze août 1910. ''La Patrie'' livre le témoignage de Joseph Jette, un jeune paralytique de 22 ans qui affirme avoir été guéri à l'Oratoire :<br />
:(...) ''Un jour pendant que je travaillais sur un échafaudage, un madrier céda et je roulai sous les débris. On me retira de là à demi-mort, et je fus transporté à l'hôpital, où je demeurai pendant quelques jours, sans que ma mère connût l'accident. J'avais été blessé à l'épine dorsale, et les médecins me disaient que je serais infirme toute ma vie (...) Ayant entendu parler des faveurs que saint Joseph accorde à ceux qui visitent son Oratoire de la Côte-des-Neiges, en se recommandant aux prières du Frère André, je m'y rendis avec ma mère. C'est un cocher qui me transporta dans ses bras pour monter la côte qui conduit à l'Oratoire Saint-Joseph : c'est vous dire que même avec mes béquilles je ne pouvais me tenir sur mes jambes. Après avoir prié pendant quelques minutes, je me rendis auprès du Frère André, et il me suggéra de laisser mes béquilles et d'essayer de marcher. J'obéis et à l'instant je me sentis guéri. Ma mère et les autres personnes qui étaient dans l'Oratoire se mirent à pleurer en voyant ce qui venait de s'opérer. Je ne suis pas encore très fort, mais je marche très bien sans béquilles.''
Ligne 317 ⟶ 316 :
|chapitre=Misère noire !
}}
[[Fichier:Frère André.jpg|thumb|200px|«&nbsp;''Ceux qui sont guéris vite sont ceux qui n'ont pas la foi ou, encore, qui ont peu de foi. Une guérison rapide peut leur donner la foi ; tandis que ceux qui ont déjà une foi solide ne sont pas guéris vite, parce que le bon Dieu préfère les éprouver, les faire souffrir pour les sanctifier davantage.''&nbsp;»]]
[[Fichier:Frère André.jpg|thumb|200px|Statue du frère André située près de l'Oratoire Saint-Joseph]]
<br />
{{citation|citation=<poem>