« William Vogt » : différence entre les versions

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{{citation
|citation=Et ce ne sont pas là des énormités isolées, croyez-le bien. Tous leurs discours, tous leurs "morceaux d'architecture", tout leur rituel, tous les numéros de leur journal secret incitant les apprentis, les compagnons et les maîtres au mépris des profanes, sont farcis de cette admiration mutuelle qui pervertit, de cette adoration de soi-même qui rend bête. En vérité, quand on les connaît comme je les connais maintenant; quand on les a lus, comme je les ai lus; quand on sait le néant de leurs travaux intellectuels et l'injustice de leur oeuvre, c'est à se demander si le Franc-maçon n'est pas un oison, plus prétentieux et plus ridicule qu'un geai qui se pavanerait avec quelques plumes de paon au cul!
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|langue=fr
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{{Réf Livre
|titre=Eux, lui, moi.
|auteur=William Vogt
|éditeur=imprimerie
|année=juillet 1901
|page=8-9
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{{interprojet|w=William Vogt (pamphlétaire)}}