« Pierre Choderlos de Laclos » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
Olyvar (discussion | contributions)
Olyvar (discussion | contributions)
Aucun résumé des modifications
Ligne 3 :
 
== ''Les Liaisons dangereuses'' ==
=== Marquise de Merteuil ===
{{citation
|citation=Je suis sûre que si j'avais le bon esprit de le quitter à présent, il en serait au désespoir ; et rien ne m'amuse comme un désespoir amoureux. Il m'appellerait perfide, et ce mot de perfide m'a toujours fait plaisir ; c'est, après celui de cruelle, le plus doux à l'oreille d'une femme.
Ligne 12 ⟶ 13 :
|éditeur=Folio plus classiques
|page=28
|partie=Lettre V (5)
|année=2005
|s=Les Liaisons dangereuses
Ligne 18 ⟶ 19 :
 
{{citation
|citation=L'amour est, comme la médecine, seulement l'art d'aider à la nature.
|citation=Je réussis, et j'obtins qu'elle lui ferait une querelle de cette même partie de chasse, à laquelle, bien évidemment, il n'avait consenti que pour elle. On ne pouvait prendre un plus mauvais prétexte : mais nulle femme n'a mieux que la Vicomtesse ce talent, commun à toutes, de mettre l'humeur à la place de la raison, et de n'être jamais si difficile à apaiser que quand elle a tort.
}}
{{Réf Livre
Ligne 24 ⟶ 25 :
|année d'origine=1782
|auteur=Pierre Choderlos de Laclos
|éditeur=FolioplusJ classiquesRozez
|page=17840
|tome=1
|partie=Lettre 71
|partie=Lettre X (10)
|année=2005
|année=1869
|s=Les Liaisons dangereuses
}}
 
{{citation
|citation=Une occasion manquée se retrouve, tandis qu'on ne revient jamais d'une démarche précipitée.
}}
{{Réf Livre
|titre=Les Liaisons dangereuses
|année d'origine=1782
|auteur=Pierre Choderlos de Laclos
|éditeur=J Rozez
|page=102
|tome=1
|partie=Lettre XXXIII (33)
|année=1869
|s=Les Liaisons dangereuses
}}
Ligne 40 ⟶ 57 :
|éditeur=J Rozez
|page=221
|tome=1
|partie=Lettre LXXIV (74)
|année=1869
Ligne 56 ⟶ 74 :
|partie=Lettre LXXXI(81)
|année=2005
|s=Les Liaisons dangereuses
}}
 
{{citation
|citation=Le luxe absorbe tout : on le blâme, mais il faut l’imiter ; et le superflu finit par priver du nécessaire.
}}
{{Réf Livre
|titre=Les Liaisons dangereuses
|année d'origine=1782
|auteur=Pierre Choderlos de Laclos
|éditeur=J Rozez
|page=62
|tome=2
|partie=Lettre CIV (104)
|année=1869
|s=Les Liaisons dangereuses
}}
 
{{citation
|citation=Le ridicule qu’on a augmente toujours en proportion qu’on s’en défend.
}}
{{Réf Livre
|titre=Les Liaisons dangereuses
|année d'origine=1782
|auteur=Pierre Choderlos de Laclos
|éditeur=J Rozez
|page=200
|tome=2
|partie=Lettre CXLI (141)
|année=1869
|s=Les Liaisons dangereuses
}}
 
{{citation
|citation=Ou vous avez un rival, ou vous n’en avez pas. Si vous en avez un, il faut plaire pour lui être préféré ; si vous n’en avez pas, il faut plaire encore pour éviter d’en avoir.
}}
{{Réf Livre
|titre=Les Liaisons dangereuses
|année d'origine=1782
|auteur=Pierre Choderlos de Laclos
|éditeur=J Rozez
|page=232
|tome=2
|partie=Lettre CLII (152)
|année=1869
|s=Les Liaisons dangereuses
}}
 
=== Vicomte de Valmont ===
{{citation
|citation=Je serais tenté de croire qu’il y a vraiment du plaisir à faire du bien et qu’après tout ce que nous appelons les gens vertueux n’ont pas tant de mérite qu’on se plaît à nous le dire.
}}
{{Réf Livre
|titre=Les Liaisons dangereuses
|année d'origine=1782
|auteur=Pierre Choderlos de Laclos
|éditeur=J Rozez
|page=70
|tome=1
|partie=Lettre XXI (21)
|année=1869
|s=Les Liaisons dangereuses
}}
 
{{citation
|citation=Je réussis, et j'obtins qu'elle lui ferait une querelle de cette même partie de chasse, à laquelle, bien évidemment, il n'avait consenti que pour elle. On ne pouvait prendre un plus mauvais prétexte : mais nulle femme n'a mieux que la Vicomtesse ce talent, commun à toutes, de mettre l'humeur à la place de la raison, et de n'être jamais si difficile à apaiser que quand elle a tort.
}}
{{Réf Livre
|titre=Les Liaisons dangereuses
|année d'origine=1782
|auteur=Pierre Choderlos de Laclos
|éditeur=Folioplus classiques
|page=178
|partie=Lettre LXXI (71)
|année=2005
|s=Les Liaisons dangereuses
}}
 
{{citation
|citation=On a toujours assez vécu, quand on a eu le temps d’acquérir l’amour des femmes et l’estime des hommes.
}}
{{Réf Livre
|titre=Les Liaisons dangereuses
|année d'origine=1782
|auteur=Pierre Choderlos de Laclos
|éditeur=J Rozez
|page=245
|tome=1
|partie=Lettre LXXIX (79)
|année=1869
|s=Les Liaisons dangereuses
}}
 
{{citation
|citation=On n'est heureux que par l'amour.
}}
{{Réf Livre
|titre=Les Liaisons dangereuses
|année d'origine=1782
|auteur=Pierre Choderlos de Laclos
|éditeur=J Rozez
|page=242
|tome=2
|partie=Lettre CLV (155)
|année=1869
|s=Les Liaisons dangereuses
}}
 
 
=== Madame de Volanges ===
{{citation
|citation=Le scélérat a ses vertus, comme l'honnête homme a ses faiblesses.
}}
{{Réf Livre
|titre=Les Liaisons dangereuses
|année d'origine=1782
|auteur=Pierre Choderlos de Laclos
|éditeur=J Rozez
|page=98
|tome=1
|partie=Lettre XXXII (32)
|année=1869
|s=Les Liaisons dangereuses
}}
 
=== Madame de Rosemonde ===
{{citation
|citation=L’homme jouit du bonheur qu’il ressent, et la femme de celui qu’elle procure. Cette différence, si essentielle et si peu remarquée, influe pourtant, d’une manière bien sensible, sur la totalité de leur conduite respective. Le plaisir de l’un est de satisfaire ses désirs, celui de l’autre est surtout de les faire naître. Plaire, n’est pour lui qu’un moyen de succès ; tandis que pour elle, c’est le succès lui-même. Et la coquetterie, si souvent reprochée aux femmes, n’est autre chose que l’abus de cette façon de sentir, et par là même en prouve la vérité. Enfin ce goût exclusif, qui caractérise particulièrement l’amour, n’est dans l’homme qu’une préférence, qui sert, au plus, à graduer un plaisir, qu’un autre objet affaiblirait peut-être, mais ne détruirait pas ; tandis que dans les femmes, c’est un sentiment profond, qui non seulement anéantit tout désir étranger, mais qui, plus fort que la nature, et soustrait à son empire, ne leur laisse éprouver que répugnance et dégoût, là-même où semble devoir naître la volupté..
}}
{{Réf Livre
|titre=Les Liaisons dangereuses
|année d'origine=1782
|auteur=Pierre Choderlos de Laclos
|éditeur=J Rozez
|page=163-164
|tome=2
|partie=Lettre CXXX (130)
|année=1869
|s=Les Liaisons dangereuses
}}