« Paul Verlaine » : différence entre les versions
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'''[[w:Paul Verlaine|Paul Verlaine]]''' (Metz, {{Date|30|mars|1844}} — Paris, {{Date|8|janvier|1896}}) est un poète français.
== Poèmes de jeunesse ==
{{citation|<poem>
La Mort
Telle qu'un moissonneur, dont l'aveugle faucille
Abat le frais bleuet, comme le dur chardon,
Telle qu'un plomb cruel qui, dans sa course, brille,
Siffle, et, fendant les airs, vous frappe sans pardon […]</poem>}}
{{réf Livre|titre=Oeuvres poétiques|auteur=Paul Verlaine|année=1975|éditeur=Jean de Bonnot|tome=7|page=210|vers=1-4|}}
{{citation|<poem>L'apollon de Pont-Audemer
Plus tard, soit que le sort, l'épargne ou le désigne,
On le verra, bon vieux, barbe blanche, oeil terni,
S'éteindre doucement, comme un jour qui finit.
Ou bien, humble héros, martyr de la consigne,
Au fond d'une tranchée obscure ou d'un talus
Rouler, le crâne ouvert par quelque éclat d'obus.</poem>|précisions=9 sept. 1864}}
{{réf Livre|titre=Oeuvres poétiques|auteur=Paul Verlaine|année=1975|éditeur=Jean de Bonnot|tome=7|page=215|vers=9-14|}}
== ''Poèmes saturniens'', 1866 ==
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Tu mérites la prime place en ce mien livre}}
{{réf Livre|titre de la contribution=Dédicaces|année de la contribution=1890|section=poème LXII (« À Arthur Rimbaud »)|vers=1-2|titre=Œuvres complètes de Paul Verlaine|auteur=Paul Verlaine|page=161|tome=3|éditeur=L. Vanier|année=1902-1905}}
== ''Epigrammes'', 1894 ==
{{citation|<poem>XXVIII
Sur un exemplaire des « Fleurs du mal »
Je compare ces vers étranges
Aux étranges vers que ferait
Un marquis de Sade discret
Qui saurait la langue des anges
</poem>}}
{{réf Livre|titre=Oeuvres poétiques|auteur=Paul Verlaine|année=1975|éditeur=Jean de Bonnot|tome=6|page=67}}
== ''“Hombres”'' (Hommes) ==
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