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'''[[w:Isaac Asimov|Isaac Asimov]]''' ([[w:2 janvier|2 janvier]] [[:Catégorie:Naissance en 1920|1920]], [[w:Petrovichi|Petrovichi]] - [[w:6 avril|6 avril]] [[:Catégorie:Décès en 1992|1992]], [[w:New York|New York]]) (Исаак Озимов, aujourd'hui transcrit en Айзек Азимов) était un écrivain américain, essentiellement connu pour ses œuvres de [[science-fiction]] et ses livres de vulgarisation scientifique.
__NOTOC__
{| class="wikitable"
|+ Liste des principales œuvres d'Asimov
|-
! width="200" | Cycle des robots
! width="200" | Cycle de l'empire
! width="200" | Cycle de Fondation
|-
| [[Les Robots|Les robots]]
| [[Cailloux dans le ciel]]
| [[Fondation (livre)|Fondation]]
|-
| [[Un défilé de robots]]
| [[Tyrann]] (ou [[Poussière d'étoiles]])
| [[Fondation et Empire]]
|-
| [[Les Cavernes d'acier|Les cavernes d'acier]]
| [[Les Courants de l'espace|Les courants de l'espace]]
| [[Seconde Fondation]]
|-
| [[Face aux feux du soleil]]
|
| [[Fondation foudroyée]]
|-
| [[Les Robots de l'aube|Les robots de l'aube]]
|
| [[Terre et Fondation]]
|-
| [[Les Robots et l'empire|Les robots et l'empire]]
|
|
|-
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| [[Prélude à Fondation]]
|-
|
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| [[L'Aube de Fondation]]
|}
== ''[[w:Trois lois de la robotique|Les Trois Lois de la Robotique]]'' ==
{{citation|citation=<poem>
|page=5
}}
== ''[[w:Les Cavernes d'acier|Les cavernes d'acier]]'', 1954 ==
{{Fiche de références|Les cavernes d'acier}}
{{citation|citation=Tous les ennuis que nous vaut la vie moderne sont dus à ce qu'il y a divorce entre la nature et nous.
}}
{{Réf Livre|référence=Les cavernes d'acier/J'ai Lu - SF
|année d'origine=1954
|page=10
}}
{{citation|citation=Chacune de ces villes devint un ensemble quasi autonome qui parvint à se suffire à peu près à lui-même sur le plan économique. Et toutes se couvrirent de toits hermétiques, s'entourèrent de murs infranchissables, et se tapirent dans les profondeurs du sol. Chacune devint une cave d'acier, une formidable caverne aux innombrables compartiments de béton et de métal.
}}
{{Réf Livre|référence=Les cavernes d'acier/J'ai Lu - SF
|année d'origine=1954
|page=34
}}
{{citation|citation=Quand les gens sont malheureux et perdent tout espoir de voir finir la fin de leurs tourments, ils passent aisément de l'amertume, née de la spoliation, à la fureur vengeresse et destructrice. Il ne faut que quelques minutes pour transformer l'hostilité latente d'une foule en une fulgurante orgie de sang et de ruines.
}}
{{Réf Livre|référence=Les cavernes d'acier/J'ai Lu - SF
|année d'origine=1954
|page=46
}}
{{citation|citation={{Personnage|R. Daneel Olivaw}} : La différence entre l'être humain et le robot n'est peut-être pas aussi significative que celle qui oppose l'intelligence et la bêtise.
}}
{{Réf Livre|référence=Les cavernes d'acier/J'ai Lu - SF
|année d'origine=1954
|page=58
}}
{{citation|citation={{Personnage|R. Daneel Olivaw}} : La justice, ''(...)'' c'est ce qui existe quand toutes les lois sont respectées.
}}
{{Réf Livre|référence=Les cavernes d'acier/J'ai Lu - SF
|année d'origine=1954
|page=145
}}
{{citation|citation={{Personnage|R. Daneel Olivaw}} : Une loi injuste est un contresens.
}}
{{Réf Livre|référence=Les cavernes d'acier/J'ai Lu - SF
|année d'origine=1954
|page=145
}}
{{citation|citation={{Personnage|Han Fastolfe}} : Dans l'état actuel des choses, la structure du Monde Terrestre ne peut aller qu'en s'effritant rapidement, tandis que, de leur côté, les Mondes Extérieurs dégénéreront et s'effondreront dans la décadence un peu plus tard.
|précisions=À la lumière de l'intégralité de l'œuvre d'Asimov, cette phrase prend tout son sens dans les romans ''Les robots et l'empire'' et ''Terre et Fondation''.
}}
{{Réf Livre|référence=Les cavernes d'acier/J'ai Lu - SF
|année d'origine=1954
|page=173
}}
{{citation|citation={{Personnage|Dr Gerrigel}} : La race humaine ''(...)'' garde un très puissant complexe : celui de Frankenstein.
}}
{{Réf Livre|référence=Les cavernes d'acier/J'ai Lu - SF
|année d'origine=1954
|page=233
}}
{{citation|citation={{Personnage|Dr Gerrigel}} : La forme humaine est, dans toute la nature, celle qui donne le meilleur rendement.
}}
{{Réf Livre|référence=Les cavernes d'acier/J'ai Lu - SF
|année d'origine=1954
|page=235
}}
{{citation|citation={{Personnage|Philip Norris}} : Il faut garder la foi en notre vieux cerveau d'homme ! Notre plus grande richesse, c'est notre génie créateur.
}}
{{Réf Livre|référence=Les cavernes d'acier/J'ai Lu - SF
|année d'origine=1954
|page=253
}}
== ''[[w:Fondation_(Asimov)|Fondation]]'', [[w:1951|1951]] ==
{{Fiche de références|Fondation}}
=== Partie I : Les Psychohistoriens ===
{{citation|citation=L'urbanisation progressive de la planète finit par donner naissance à une ville unique qui couvrait les quelque deux cents millions de kilomètres carrés de la surface de Trantor. La population compta jusqu'à quarante milliards d'habitants, lesquels se consacraient presque tous à l'administration de l'Empire.
|original=
|langue=
|précisions=Encyclopedia Galactica, 116{{e}} édition, publiée en 1020 de l’Ère de la Fondation.
}}
{{Réf Livre
|référence=Fondation/Denoël-Présence du futur
|partie=I.Les Psychohistoriens
|année d'origine=1951
|page=14
}}
{{citation|citation=Quand on nait dans un alvéole, quand on grandit dans un couloir, qu'on travaille dans une cellule et qu'on prend ses vacances dans un solarium où les gens se bousculent, on ne risque rien de moins que la dépression nerveuse le jour où on s'aventure à l'air libre sans rien que le ciel au-dessus de sa tête.
|précisions=On retrouve ici le concept de cité sous cloche, sans contact avec l'extérieur, qu'Asimov a dépeint dans ''Les cavernes d'acier''.
}}
{{Réf Livre
|référence=Fondation/Denoël-Présence du futur
|partie=I.Les Psychohistoriens
|année d'origine=1951
|page=17
}}
{{citation|citation=Gaal Dornick a défini la Psychohistoire comme la branche des mathématiques qui traite des réactions des ensembles humains en face de phénomènes sociaux et économiques constants...
|précisions=Encyclopedia Galactica, 116{{e}} édition, publiée en 1020 de l’Ère de la Fondation.
}}
{{Réf Livre
|référence=Fondation/Denoël-Présence du futur
|partie=I.Les Psychohistoriens
|année d'origine=1951
|page=19
}}
{{citation|citation=
{{Personnage|Hari Seldon}} : On pourrait croire que l'Empire est éternel. Et pourtant, ''(...)'' jusqu'au jour où la tempête le fend en deux, le tronc d'arbre pourri a toutes les apparences de la santé. L'ouragan souffle dès maintenant à travers les branches de l'Empire. Écoutez avec les oreilles de la psychohistoire, et vous percevrez les premiers craquements.
}}
{{Réf Livre
|référence=Fondation/Denoël-Présence du futur
|partie=I.Les Psychohistoriens
|année d'origine=1951
|page=35
}}
{{citation|citation=
{{Personnage|Hari Seldon}} : Il suffit pour le moment que vous sachiez qu'une colonie scientifique va être établie sur [''la planète''] Terminus. Et qu'une autre ira s'installer à l'extrémité opposée de la Galaxie, disons par exemple ''(en souriant)'' à Star's End, là où finissent les étoiles.
|original=
|langue=
|précisions=Cette petite énigme sur l'emplacement de la Seconde Fondation fera l'objet de plusieurs interprétations dans les quatre volumes suivants.
}}
{{Réf Livre
|référence=Fondation/Denoël-Présence du futur
|partie=I.Les Psychohistoriens
|année d'origine=1951
|page=43
}}
=== Partie II : Les Encyclopédistes ===
{{citation|citation=<poem>
{{Personnage|Lewis Pirenne}} : ''(...)'' Par l'espace, mon cher, vous n'avez donc aucun respect pour la science ?
{{Personnage|Anselme Haut Rodric}} (''sèchement'') : Ce ne sont pas les encyclopédies qui gagnent les guerres !
</poem>
}}
{{Réf Livre
|référence=Fondation/Denoël-Présence du futur
|partie=II.Les Encyclopédistes
|année d'origine=1951
|page=43
}}
{{citation|citation=Hardin ''(...)'' se demandait pourquoi les scientifiques faisaient de si piètres administrateurs. Peut-être était-ce parce qu'ils avaient trop l'habitude des faits inflexibles et pas assez des gens aisément influençables.
}}
{{Réf Livre
|référence=Fondation/Denoël-Présence du futur
|partie=II.Les Encyclopédistes
|année d'origine=1951
|page=59
}}
{{citation|citation=C'est avec des canons qu'ils faut se battre, pas avec des mots.
|précisions=Hardin, face à l'attitude agressive du Royaume d'Anacréon.
}}
{{Réf Livre
|référence=Fondation/Denoël-Présence du futur
|partie=II.Les Encyclopédistes
|année d'origine=1951
|page=60
}}
{{citation|citation=
{{Personnage|Hardin}} : Je voulais être ingénieur psychologicien, mais, comme je n'en avait pas les moyens, j'ai choisi ce qu'il y avait de plus voisin : j'ai fait de la politique. C'est pratiquement la même chose.
}}
{{Réf Livre
|référence=Fondation/Denoël-Présence du futur
|partie=II.Les Encyclopédistes
|année d'origine=1951
|page=64
}}
{{citation
|citation=La violence est le dernier refuge de l'incompétence.
|précisions = La phrase exacte est : « La violence, rétorqua Hardin, est le dernier refuge de l'incompétence. » La formule est cependant reprise à plusieurs endroits dans l'œuvre d'Isaac Asimov.
}}{{Réf Livre|titre=Fondation|auteur=Isaac Asimov|éditeur=Denoël|année=[[w:1966|1966]]|page=75|ISBN=2070415708|traducteur=Jean Rosenthal
|partie=II.Les Encyclopédistes
}}
{{citation|citation=
{{Personnage|Hardin}} : Ne comprenez-vous donc pas ? C'est un mal qui ronge la Galaxie tout entière. On pratique le culte du passé. On stagne !
}}
{{Réf Livre
|référence=Fondation/Denoël-Présence du futur
|partie=II.Les Encyclopédistes
|année d'origine=1951
|page=78
}}
{{citation|citation=
{{Personnage|Hari Seldon}} (enregistrement holographique) : Les historiens de l'avenir marqueront d'une croix un point des cinquante ans qui viennent de s'écouler et se diront : « Ceci est le début de la chute de l'Empire Galactique. »
}}
{{Réf Livre
|référence=Fondation/Denoël-Présence du futur
|partie=II.Les Encyclopédistes
|année d'origine=1951
|page=84
}}
{{citation|citation=
{{Personnage|Hari Seldon}} (enregistrement holographique) : (...) Terminus et la Fondation sœur installée à l'autre extrémité de la galaxie sont les germes de la renaissance : de là viendront les créateurs du Second Empire Galactique.
}}
{{Réf Livre
|référence=Fondation/Denoël-Présence du futur
|partie=II.Les Encyclopédistes
|année d'origine=1951
|page=84-85
}}
=== Partie V : Les Princes Marchands ===
{{citation
|citation=Pour réussir, il ne suffit pas de prévoir. Il faut aussi savoir improviser.
}}
{{Réf Livre
|titre=Fondation
|auteur=Isaac Asimov
|éditeur=Denoël
|année=[[w:2000|2000]]
|page=182
|traducteur=Jean Rosenthal
}}
{{Choisie citation du jour
|puce=*
|année=2010
|mois=juillet
|jour=9
|commentaire=
|}}
== ''Autres parutions'' ==
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