« Fondation et Empire » : différence entre les versions

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|partie=Partie I.Le Général
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}}
 
{{citation|citation=L'essentiel, quand on prend des risques, c'est que les bénéfices le justifient.
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{{Réf Livre
|référence=Fondation et empire/Denoël-Présence du futur
|partie=Partie I.Le Général
|page=19
}}
 
{{citation|citation={{Personnage|Brodrig}} : Il vit dans le passé. Il rêve des temps anciens, ou plutôt des mythes liés aux temps anciens. Des hommes comme lui sont inoffensifs par eux-mêmes, mais leur étrange manque de réalisme les rend dangereux pour autrui.
|précisions=À propos du général Bel Riose.
}}
{{Réf Livre
|référence=Fondation et empire/Denoël-Présence du futur
|partie=Partie I.Le Général
|page=36
}}
 
{{citation|citation={{Personnage|Brodrig}} : ''(...)'' Même un idiot romanesque peut être une arme redoutable, quand un rebelle qui, lui, n'est pas romanesque, l'utilise comme un instrument.
|précisions=À propos du général Bel Riose.
}}
{{Réf Livre
|référence=Fondation et empire/Denoël-Présence du futur
|partie=Partie I.Le Général
|page=37
}}
 
{{citation|citation={{Personnage|Bel Riose}} : On peut prendre un risque quand on connait son ennemi et qu'on peut calculer ce risque, du moins approximativement ; mais faire le moindre mouvement contre un ennemi inconnu, c'est de la témérité.
}}
{{Réf Livre
|référence=Fondation et empire/Denoël-Présence du futur
|partie=Partie I.Le Général
|page=56
}}