« Honoré Gabriel Riqueti de Mirabeau » : différence entre les versions
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''Adresse de la ville de Rennes, qui prétend que le veto royal est inadmissible, et déclare traitres et ennemis de la patrie, ceux qui voudroient enlever ce pouvoir à la nation, à qui il appartient dans toute sa plénitude''.]
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Quand il seroit vrai qu'il pouroit y avoir jamais de la dignité dans la colère, je ne vois pas ce qui peut dans l'adresse qui vient d'être lue, exciter la colère de l'assemblée. Melun, Chaillot, le Point du jour, Géroflé ont le droit de débiter les mêmes absurdités que Rennes ; comme Rennes, ils peuvent qualifier d'infâmes ou de traîtres à la patrie, ceux qui ne partagent pas leurs opinions. L'assemblée nationale n'a pas le tems
|précisions= Séance du 10 septembre 1789}}
{{Réf Livre
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