« Seconde Fondation » : différence entre les versions
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|partie=II.Arcadia Darell
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{{citation
|citation=L'édifice était immense et sinistrement massif, se rétractant au contact de la vie pour se réfugier dans un sommeil fait de souvenirs éclatants, réverbérant les bruits de pas en échos caverneux ou en claquements métalliques.
|précisions=Description du Palais du Mulet sur la planète Kalgan.
}}
{{Réf Livre
|référence=Seconde Fondation/Denoël-Présence du futur
|année d'origine=1953
|partie=II.Arcadia Darell
|page=178
}}
{{citation
|citation=Même s'il ne dispose d'aucune faculté télépathique ni de méthodes d'intercommunication entre esprits différents, l'atmosphère est suffisamment chargée d'atomes hostiles, d'humeurs incompatibles, pour susciter le désespoir.
|précisions=Description de ce que peut ressentir une personne, comme Arcadia Darell, isolée et perdue dans l'immensité d'un astroport alors qu'elle est poursuivie.
}}
{{Réf Livre
|référence=Seconde Fondation/Denoël-Présence du futur
|année d'origine=1953
|partie=II.Arcadia Darell
|page=188
}}
{{citation
|citation={{Personnage|Pelleas Anthor}} (au {{Personnage|Dr Darell}}) : Vous paraissez à ce point inhumain, en l’occurrence, que j'avais, ma foi, oublié que vous étiez doué de sensibilité.
}}
{{Réf Livre
|référence=Seconde Fondation/Denoël-Présence du futur
|année d'origine=1953
|partie=II.Arcadia Darell
|page=204
}}
{{citation|citation={{Personnage|Dr Darell}} : À notre point de vue, toute la vie est une suite d'accidents auxquels nous parons par des solutions improvisées. À leurs yeux, l'existence est un enchainement logique qui doit être déterminé par des calculs précis.
|précisions=Comparaison des visions de la Première ("''nous''") et de la Seconde Fondation ("''eux''").
}}
{{Réf Livre
|référence=Seconde Fondation/Denoël-Présence du futur
|année d'origine=1953
|partie=II.Arcadia Darell
|page=208
}}
{{citation|citation={{Personnage|Dr Darell}} : Je préfère les mettre devant une réaction improbable. Je resterai donc sur place, bien que je meure d'envie de partie. Non ! ''Parce que'' je meurs d'envie de partir.
}}
{{Réf Livre
|référence=Seconde Fondation/Denoël-Présence du futur
|année d'origine=1953
|partie=II.Arcadia Darell
|page=208
}}
{{citation|citation=Trantor était un monde dévasté qui renaissait de ces cendres. Incrusté comme un bijou terni au milieu de l'affolante nuée de soleils, au centre de la Galaxie – parmi les montagnes et les grappes d'étoiles entassées avec une prodigalité aveugle –, il rêvait alternativement du passé et de l'avenir.
}}
{{Réf Livre
|référence=Seconde Fondation/Denoël-Présence du futur
|année d'origine=1953
|partie=II.Arcadia Darell
|page=217
}}
{{citation|citation=Dans la fulgurante tourmente qui avait déchainé sur elle la ruine et la mort, la coque métallique qui enveloppait la planète s'était crevassée et effondrée en une douloureuse caricature de sa propre grandeur.
}}
{{Réf Livre
|référence=Seconde Fondation/Denoël-Présence du futur
|année d'origine=1953
|partie=II.Arcadia Darell
|page=217
}}
{{citation|citation=C'était l'endroit sacré entre tous ! Le saint des saints ! Seule de toute la planète, elle avait survécu au Grand Pillage et, depuis un siècle, elle était demeurée complète et indemne ; jetant un défi à l'univers.
|précisions=À propos de l'ancienne grande bibliothèque impériale.
}}
{{Réf Livre
|référence=Seconde Fondation/Denoël-Présence du futur
|année d'origine=1953
|partie=II.Arcadia Darell
|page=218
}}
{{citation|citation=Il est toujours facile d'expliquer ce que l'on ne connait pas en faisant intervenir une volonté surhumaine autant qu'arbitraire.
}}
{{Réf Livre
|référence=Seconde Fondation/Denoël-Présence du futur
|année d'origine=1953
|partie=II.Arcadia Darell
|page=241
}}
{{citation|citation={{" "|Un Cercle n'a pas de bout.}}
|précisions=Message énigmatique d'Arcadia Darell à son père pour qu'il trouve, comme elle, l'emplacement de la Seconde Fondation.
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{{Réf Livre
|référence=Seconde Fondation/Denoël-Présence du futur
|année d'origine=1953
|partie=II.Arcadia Darell
|page=254
}}
{{citation|citation=Plus un objet vous crève les yeux, et moins on soupçonne sa présence.
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{{Réf Livre
|référence=Seconde Fondation/Denoël-Présence du futur
|année d'origine=1953
|partie=II.Arcadia Darell
|page=255
}}
{{citation|citation=Lorsqu'on court après un ennemi insaisissable, on ne pense guère à le chercher parmi les adversaires déjà conquis.
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{{Réf Livre
|référence=Seconde Fondation/Denoël-Présence du futur
|année d'origine=1953
|partie=II.Arcadia Darell
|page=255
}}
{{citation|citation=À quel moment l'homme peut-il savoir qu'il n'est pas le pantin dont un autre tire les ficelles ? Comment pourrait-il le savoir ?
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{{Réf Livre
|référence=Seconde Fondation/Denoël-Présence du futur
|année d'origine=1953
|partie=II.Arcadia Darell
|page=261
}}
{{citation|citation=Tous les chemins mènent à Trantor, et c'est là que finissent les étoiles.
|précisions=La citation complète est : {{" "|Tous les chemins mènent à Trantor, dit le vieux proverbe, et c'est là que finissent les étoiles.}}
}}
{{Réf Livre
|référence=Seconde Fondation/Denoël-Présence du futur
|année d'origine=1953
|partie=II.Arcadia Darell
|page=271
}}
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