« Stephen King » : différence entre les versions

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|traducteur=Christiane Thiollier, Joan Bernard
|ISBN=2-266-02961-4}}
 
=== ''[[w:Danse macabre (Stephen King)|Danse macabre]]'', 1978 ===
{{citation|citation=La vie est pleines d'horreurs petites ou grandes et, comme les petites sont celles que nous pouvons le mieux appréhender, ce sont elles qui nous frappent de plein fouet. Ces horreurs miniatures suscitent aussi bien notre fascination que notre aversion. Ces deux sentiments ne cohabitant pas sans gêne, il en résulte une impression de culpabilité.}}
{{Réf Livre
|titre=Danse macabre
|partie=Avant-propos
|auteur=Stephen King
|éditeur=J'Ai Lu
|année=1997
|page=16
|traducteur=Lorris Murail et Natalie Zimmermann
|ISBN=2-277-21355-1}}
 
{{citation|citation=Ce qui donne sa puissance à la littérature d'horreur à travers les siècles est qu'elle nous fait répéter en vue du jour de notre mort. On ne s'est jamais fait une très haute idée de ce domaine ; pendant longtemps, Poe et Lovecraft n'ont été vraiment prisés que par les Français qui semblent faire meilleur ménage avec la libido et la mort que les Américains.}}
{{Réf Livre
|titre=Danse macabre
|partie=Avant-propos
|auteur=Stephen King
|éditeur=J'Ai Lu
|année=1997
|page=18
|traducteur=Lorris Murail et Natalie Zimmermann
|ISBN=2-277-21355-1}}
 
{{citation|citation=En tant qu'auteur, j'ai toujours considéré que la qualité de l'intrigue avait priorité sur toutes les autres facettes du talent de l'écrivain. La psychologie, le thème, le style, tout cela devient secondaire si l'histoire est ennuyeuse. Et, si le récit vous tient en haleine, vous serez disposé à toutes les indulgences.}}
{{Réf Livre
|titre=Danse macabre
|partie=Avant-propos
|auteur=Stephen King
|éditeur=J'Ai Lu
|année=1997
|page=23
|traducteur=Lorris Murail et Natalie Zimmermann
|ISBN=2-277-21355-1}}
 
{{citation|citation=Il est dans la nature de l'animal humain de se précipiter sur les lieux de l'accident.}}
{{Réf Livre
|titre=Danse macabre
|partie=La Presseuse
|auteur=Stephen King
|éditeur=J'Ai Lu
|année=1997
|page=115
|traducteur=Lorris Murail et Natalie Zimmermann
|ISBN=2-277-21355-1}}
 
{{citation|citation=L'amour est la drogue la plus pernicieuse qui soit au monde. Laissons aux idéalistes le soin de débattre de sa nature. Les pragmatiques savent le reconnaître là où il se trouve et en faire un moyen de pression.}}
{{Réf Livre
|titre=Danse macabre
|partie=Desintox, Inc.
|auteur=Stephen King
|éditeur=J'Ai Lu
|année=1997
|page=291
|traducteur=Lorris Murail et Natalie Zimmermann
|ISBN=2-277-21355-1}}
 
=== ''[[w:Marche ou crève (roman)|Marche ou crève]]'', 1979 ===
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|traducteur=Michèle Pressé et Serge Quadruppani
|ISBN=2-277-22579-7}}
 
=== ''[[w:Ça (roman)|Ça]]'', 1986 ===
{{citation|citation=Ils flottent, reprit le clown. En bas, nous flottons tous. ''[…]'' Viens flotter avec nous.}}
{{Réf Livre
|titre=Ça
|auteur=Stephen King
|éditeur=Albin Michel
|année=1990
|page=44-45
|tome=1
|traducteur=William Olivier Desmond
|ISBN=2-226-03453-6}}
 
{{citation|citation=On ne peut pas être prudent sur un skate.}}
{{Réf Livre
|titre=Ça
|auteur=Stephen King
|éditeur=Albin Michel
|année=1990
|page=576
|tome=1
|traducteur=William Olivier Desmond
|ISBN=2-226-03453-6}}
 
{{citation|citation=Cette énergie dans laquelle on puise avec tant de profusion quand on est enfant, cette énergie qui paraît inépuisable, elle disparaît en douce entre dix-huit et vingt-quatre ans pour être remplacée par quelque chose qui n'en a pas l'éclat, loin s'en faut, et d'aussi factice qu'une euphorie à la coke ; des intentions, ou des buts, peu importe le terme, c'est l'esprit chambre de commerce. Ça se passe sans histoires, la disparition n'est pas instantanée, elle ne s'accompagne d'aucun éclat. Et peut-être, est-ce là ce qui fait le plus peur. Cette façon de ne pas arrêter d'un seul coup d'être un enfant, avec un gros boum ! comme un de ces ballons de clown qui explosent pour les besoins d'un gag. L'enfant qui est en soi fuit comme crève un pneu sans chambre : lentement.}}
{{Réf Livre
|titre=Ça
|auteur=Stephen King
|éditeur=Albin Michel
|année=1990
|page=79-80
|tome=2
|traducteur=William Olivier Desmond
|ISBN=2-226-03454-4}}
 
{{citation|citation=Peut-être que ces histoires de bons et mauvais amis, cela n'existe pas ; peut-être n'y a-t-il que des amis, un point c'est tout, c'est-à-dire des gens qui sont à vos côtés quand ça va mal et qui vous aident à ne pas vous sentir trop seul. Peut-être vaut-il toujours la peine d'avoir peur pour eux, d'espérer pour eux, de vivre pour eux. Peut-être aussi vaut-il la peine de mourir pour eux, s'il faut en venir là. Bons amis, mauvais amis, non. Rien que des personnes avec lesquelles on a envie de se trouver ; des personnes qui bâtissent leur demeure dans votre cœur.}}
{{Réf Livre
|titre=Ça
|auteur=Stephen King
|éditeur=Albin Michel
|année=1990
|page=149
|tome=2
|traducteur=William Olivier Desmond
|ISBN=2-226-03454-4}}
 
{{citation|citation=Il pense que c'est bon d'être un enfant, mais que c'est aussi bon d'être un adulte et de rester capable de prendre en compte les mystères de l'enfance… ses croyances, ses désirs. J'écrirai un jour quelque chose là-dessus, pense-t-il, sachant qu'il ne s'agit là que d'un songe nocturne, d'une pensée née du rêve. Mais il est agréable de s'y complaire quelques instants, dans l'impeccable silence de l'aube, de se dire que l'enfance possède ses propres et doux secrets et confirme notre mortelle condition, laquelle définit tout ce qui est courage et amour. De penser que ce qui a regardé en avant doit également regarder en arrière, et que chaque vie imite à sa manière l'immortalité : une roue. Ou du moins c'est ce que songe Bill Denbrough en ces heures du point de l'aube, après ses rêves, quand il se rappelle presque son enfance et les amis avec lesquels il l'a vécue.}}
{{Réf Livre
|titre=Ça
|auteur=Stephen King
|éditeur=Albin Michel
|année=1990
|page=500-501
|tome=2
|traducteur=William Olivier Desmond
|ISBN=2-226-03454-4}}
 
=== ''{{w|Les Yeux du dragon}}'', 1987 ===
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=== ''{{w|Les Trois Cartes}}'', 1987 ===
{{Loupe|La Tour sombre}}
 
=== ''{{w|Misery}}'', 1987 ===
{{citation|citation=Écrire n'engendre pas la misère, écrire naît de la misère.}}
{{Réf Livre
|titre=Misery
|auteur=Stephen King
|éditeur=Le Livre de Poche
|année=2002
|page=119
|traducteur=William Olivier Desmond
|ISBN=2-253-15137-8}}
 
{{citation|citation=C'est tout à fait utile d'avoir un peu de talent pour devenir écrivain, mais la seule chose qui soit absolument indispensable, c'est la capacité de se souvenir de la moindre cicatrice. L'art c'est la persistance de la mémoire.}}
{{Réf Livre
|titre=Misery
|auteur=Stephen King
|éditeur=Le Livre de Poche
|année=2002
|page=280
|traducteur=William Olivier Desmond
|ISBN=2-253-15137-8}}
 
{{citation|citation=Je refuse de me transformer en personnage de fiction. L'écriture est peut-être une activité masturbatoire, mais Dieu me garde de sombrer dans l'autocannibalisme.}}
{{Réf Livre
|titre=Misery
|auteur=Stephen King
|éditeur=Le Livre de Poche
|année=2002
|page=385
|traducteur=William Olivier Desmond
|ISBN=2-253-15137-8}}
 
=== ''{{w|Les Tommyknockers}}'', 1987 ===