« Abus sexuels sur mineurs dans l'Église catholique » : différence entre les versions

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== Citation ==
{{citation|Le débat actuel sur les prêtres pédophiles – considéré du point de vue du sociologue – est un exemple typique de « panique morale ». Le concept trouve son origine dans les années 1970 pour expliquer comment certains problèmes sont l’objet d’une « hyper-construction sociale ». Plus précisément, les paniques morales ont été définies comme des problèmes socialement construits, caractérisés par une amplification systématique des données réelles, que ce soit dans la représentation médiatique, ou dans le débat politique.
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|langue=fr}}
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{{Réf Pub|nom=[[Massimo Introvigne]]
|date={{Date|28|mars|2010}}
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|source=[http://www.nationspresse.info/?p=83590#more-83590 ''Cathophobie, l'ignoble campagne des laïcistes'']}}
 
{{citation
|citation=Le 10 mars 1937, Pie XI publiait l'encyclique ''Mit brennender Sorge'', qui condamnait l'idéologie nazie. Quelques semaines plus tard, Goebbels, ministre de la Propagande du IIIème Reich, lançais une grande campagne contre l'Eglise catholique allemande: 276 religieux et 49 prêtres séculiers étaient arrêtés, accusés d'abus sexuels. pendant plusieurs mois, la presse allemande (parfois relayée par la presse étrangère) se fit l'écho des accusations et des procès. Finalement, seuls 21 des 325 prêtres arrêtés furent condamnés, et parmi ceux-ci, s'accordent à dire les historiens, plusieurs furent victimes de rumeurs et de condamnations injustifiées. La campagne d'accusation avait eu pour but de discréditer une institution et une autorité morale que les nazis n'arrivaient pas à faire taire.
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|langue=fr
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{{Réf Article
|titre=L'Eglise au crible de l'actualité
|auteur=[[Yves Chiron]]
|publication={{w|L'Homme nouveau}}
|numéro=1473
|date=3 juillet 2010
|page=20
|ISSN=0018 4322
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