« Gaston Bachelard » : différence entre les versions

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Clelie Mascaret (discussion | contributions)
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|chapitre=X. « L'arbre aérien »
|ISBN=978-2-253-06100-7}}
 
{{citation|Il faut que l'imagination prenne trop pour que la pensée ait assez.}}
{{Réf Livre|titre= L'Air et les Songes
|auteur=Gaston Bachelard
|éditeur=José Corti
|année=1950
|page=288}}
 
{{citation|citation=<poem>Il n'y a pas de ''poésie'' antécédente à l'acte du verbe poétique. Il n'y a pas de réalité antécédente à l'image littéraire. L'image littéraire ne vient pas habiller une image nue, ne vient pas donner la parole à une image muette. L'imagination, en nous, parle, nos rêves parlent, nos pensées parlent. Toute activité humaine désire parler. Quand cette parole prend conscience de soi, alors l'activité humaine désire écrire, c'est-à-dire agencer les rêves et les pensées. L'imagination s'enchante de l'image littéraire. La littérature n'est donc le succédané d'aucune autre activité. Elle achève un désir humain. Elle représente une ''émergence'' de l'imagination.</poem>}}
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|chapitre=Conclusion I: « L'image littéraire »
|ISBN=978-2-253-06100-7}}
 
{{citation|Il faut que l'imagination prenne trop pour que la pensée ait assez.}}
{{Réf Livre|titre= L'Air et les Songes
|auteur=Gaston Bachelard
|éditeur=José Corti
|année=1950
|page=288}}
 
== ''La Terre et les Rêveries du repos'', 1946 ==