« Edgar Allan Poe » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
AnankeBot (discussion | contributions)
m r2.7.2+) (robot Ajoute : uk:Едгар Алан По
Clelie Mascaret (discussion | contributions)
Ligne 34 :
 
=== ''Ombre'', 1835 ===
 
{{citation|citation=Vous qui me lisez, vous êtes encore parmi les vivants ; mais moi qui écris, je serai depuis longtemps parti pour la région des ombres. Car, en vérité, d’étranges choses arriveront, bien des choses secrètes seront révélées, et bien des siècles passeront avant que ces notes soient vues par les hommes. Et quand ils les auront vues, les uns ne croiront pas, les autres douteront, et bien peu d’entre eux trouveront matière à méditation dans les caractères que je grave sur ces tablettes avec un stylus de fer.}}
{{Réf Livre|titre de la contribution=Ombre
Ligne 43 ⟶ 42 :
|année=1875
|page=155}}
 
=== ''Silence'', 1837 ===
{{citation|citation=<poem>C'était la nuit, et la pluie tombait ; et quand elle tombait, c'était de la pluie, mais quand elle était tombée, c'était du sang.</poem>}}
{{Réf Livre|titre=Nouvelles histoires extraordinaires
|auteur=Edgar Allan Poe
|traducteur=Charles Baudelaire
|éditeur=Gallimard
|collection=Folio Classiques
|année=2006
|année d'origine=1857
|page=296
|section=Silence
|ISBN=978-2-07-033897-9}}
 
=== ''L'homme des foules'', 1840 ===
{{citation|citation=<poem>— Ce vieux homme, — me dis-je à la longue, — est le type et le génie du crime profond. Il refuse d'être seul. Il est l'homme des foules.</poem>}}
{{Réf Livre|titre=Nouvelles histoires extraordinaires
|auteur=Edgar Allan Poe
|traducteur=Charles Baudelaire
|éditeur=Gallimard
|collection=Folio Classiques
|année=2006
|année d'origine=1857
|page=110
|section=L'homme des foules
|ISBN=978-2-07-033897-9}}
 
=== ''L'Ile de la Fée'', 1841 ===
{{citation|citation=<poem>L’eau transparente jouait si bien le miroir qu’il était presque impossible de deviner à quel endroit du talus d’émeraude commençait son domaine de cristal.</poem>}}
{{Réf Livre|titre=Nouvelles histoires extraordinaires
|auteur=Edgar Allan Poe
|traducteur=Charles Baudelaire
|éditeur=Gallimard
|collection=Folio Classiques
|année=2006
|année d'origine=1857
|page=316
|section=L'Ile de la Fée
|ISBN=978-2-07-033897-9}}
 
=== ''Colloque entre Monos et Una'', 1841 ===
{{citation|citation=<poem>Le coeur fatigué d'angoisses qui tiraient leur origine du désordre et de la décadence générale, je succombai à la cruelle fièvre. Après un petit nombre de jours de souffrance, après maints jours pleins de délire, de rêves et d'extases dont tu prenais l'expression pour celle de la douleur, pendant que je ne souffrais que de mon impuissance à te détromper, — après quelques jours je fus, comme tu l'as dis, pris par une léthargie sans souffle et sans mouvement, et ceux qui m'entouraient dirent que c'était la ''Mort''.</poem>}}
{{Réf Livre|titre=Nouvelles histoires extraordinaires
|auteur=Edgar Allan Poe
|traducteur=Charles Baudelaire
|éditeur=Gallimard
|collection=Folio Classiques
|année=2006
|année d'origine=1857
|page=288
|section=Colloque entre Monos et Una
|ISBN=978-2-07-033897-9}}
 
=== ''Le Puits et le Pendule'', 1843 ===
{{citation|citation=<poem>Celui-là qui ne s'est jamais évanoui n'est pas celui qui contemple, flottantes au milieu de l'air, les mélancoliques visions que le vulgaire ne peut apercevoir ; ce n'est pas lui qui médite sur le parfum de quelque fleur inconnue, — ce n'est pas lui dont le cerveau s'égare dans le mystère de quelque mélodie qui jusqu'alors n'avait jamais arrêté son attention.</poem>}}
{{Réf Livre|titre=Nouvelles histoires extraordinaires
|auteur=Edgar Allan Poe
|traducteur=Charles Baudelaire
|éditeur=Gallimard
|collection=Folio Classiques
|année=2006
|année d'origine=1857
|page=159
|section=Le Puits et le Pendule
|ISBN=978-2-07-033897-9}}
 
=== ''Conversation d'Eiros avec Charmion'', 1850 ===
{{citation|citation=<poem>Ton esprit qui vacille trouvera un allègement à son agitation dans l'exercice du simple souvenir. Ne regarde ni autour de toi ni devant toi, — regarde en arrière. Je brûle d'impatience d'entendre les détails de ce prodigieux événement qui t'a jeté parmi nous. Parle-moi de cela. Causons de choses familières, dans le vieux langage familier de ce monde qui a si épouvantablement péri.</poem>}}
{{Réf Livre|titre=Nouvelles histoires extraordinaires
|auteur=Edgar Allan Poe
|traducteur=Charles Baudelaire
|éditeur=Gallimard
|collection=Folio Classiques
|année=2006
|année d'origine=1857
|page=296
|section=Conversation d'Eiros avec Charmion
|ISBN=978-2-07-033897-9}}
 
== ''Histoires grotesques et sérieuses'', 1865 ==