« Paul Klee » : différence entre les versions

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{{Réf Livre|titre=Journal|auteur=Paul Klee|éditeur=Grasset|collection=Les Cahiers Rouges|année=1959|année d'origine=1957|page=43|section=Journal I|ISBN=978-2-246-27913-6}}
 
{{citation|citation=Je me sentais à l'aise dans la « tempête de la vie ». Un peu de calme eût été plus sain, mais impossible.}}
{{Réf Livre|titre=Journal|auteur=Paul Klee|éditeur=Grasset|collection=Les Cahiers Rouges|année=1959|année d'origine=1957|page=43|section=Journal I|ISBN=978-2-246-27913-6}}
 
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{{Réf Livre|titre=Journal|auteur=Paul Klee|éditeur=Grasset|collection=Les Cahiers Rouges|année=1959|année d'origine=1957|page=68|section=Journal I|ISBN=978-2-246-27913-6}}
 
{{citation|citation=Hautes maisons (jusqu'à treize étages), ruelles des plus étroites dans la vieille ville. Fraîches et malodorantes. Le soir, occupées par une foule compacte. De jour, davantage par la jeunesse. Langes flottant dans l'air comme autant de drapeaux dans une ville pavoisée. Cordes tendues entre les fenêtres qui se font face. De jour, soleil ardent sur ces ruelles, reflets métalliques de la mer là en bas, afflux de lumière de toute part ; éblouissements. A quoi s'ajoutent les résonances d'un orgue de Babarie, pittoresque métier. Tout autour, ronde d'enfants. Le théâtre dans la réalité. Emporté avec moi assez de mélancolie par-delà le Saint-Gothard. L'influence de Dionysos sur moi n'est pas si simple.|précisions=A propos de Gênes.}}
{{Réf Livre|titre=Journal|auteur=Paul Klee|éditeur=Grasset|collection=Les Cahiers Rouges|année=1959|année d'origine=1957|page=74|section=Journal II|ISBN=978-2-246-27913-6}}
 
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{{citation|citation=<poem>Je rêvai que j'assommais un jeune homme et que je traitais le mourant de songe. L'homme s'en montrait indigné, n'était-il pas sur le point de rendre l'âme ? Tant pis pour lui, répliquai-je, puisqu'il ne saurait plus évoluer !
Malheur à la bourgeoisie engraissée !}}
{{Réf Livre|titre=Journal|auteur=Paul Klee|éditeur=Grasset|collection=Les Cahiers Rouges|année=1959|année d'origine=1957|page=217|section=Journal III|ISBN=978-2-246-27913-6}}
 
{{citation|citation=La couleur me possède. Point n'est besoin de chercher à la saisir. Elle me possède, je le sais. Voilà le sens du moment heureux : la couleur et moi sommes un. Je suis peintre.}}