« Cruauté » : différence entre les versions
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La '''{{w|cruauté}}''' est le plaisir que l'on éprouve à faire [[wikt:souffrir|souffrir]] ou à voir souffrir.
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==== [[André Gide]], ''Les Faux-monnayeurs'', 1625 ====▼
{{citation|La cruauté, c'est le premier des attributs de Dieu.}}▼
{{réf Livre|titre=Les Faux-monnayeurs|auteur=[[André Gide]]|éditeur=Gallimard|année=1925|partie=III (« Paris »)|chapitre=18|page=378|ISBN=2070400824}}▼
==== [[Philippe Djian]], ''Lent dehors'', 2001 ====
{{citation|Certaines avaient de belles paires de fesses, de jolies poitrines. Elles avaient des cris clairs, des dents blanches, des poses étudiées. Les garçons les observaient comme du bétail et souriaient aux obscénités qu'ils échangeaient. Ils avaient des yeux vifs, des dents blanches, des manières brutales. Ce qu'ils partageaient, les uns et les autres, ce qu'évoquait leur visage, était la cruauté et l'ennui.}}
{{Réf Livre|titre=Lent dehors|auteur=[[Philippe Djian]]|éditeur=Folio|année=1993|page=192|année d'origine=1991}}
=== Roman ===
▲==== [[André Gide]], ''Les Faux-monnayeurs'', 1625 ====
▲{{citation|La cruauté, c'est le premier des attributs de Dieu.}}
▲{{réf Livre|titre=Les Faux-monnayeurs|auteur=[[André Gide]]|éditeur=Gallimard|année=1925|partie=III (« Paris »)|chapitre=18|page=378|ISBN=2070400824}}
== Propos de moralistes ==
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