« Ma vie pour la France » : différence entre les versions

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{{Réf Livre|titre=Ma vie pour la France|auteur= Marcel Bigeard| éditeur=Editions du Rocher |année=2010 |page=176 |chapitre=XIV (« La bataille des cinq collines »)}}
 
{{Citation|Non, tout est fini. Mon bataillon est anéanti. J'ai cru un moment que j'allais reprendre l'avantage, que j'allais être à nouveau le seigneur de ce pays, comme il y a huit ans, et ça se termine par un branlée monumentale. L'armée française, forte de ses hommes, de ses armes, de ses bataillons d'élite, a été vaincue par ces petispetits Tonkinois qu'on prenait pour des amateurs. Leurs ardeur, leur résistance, leur foi, leur fanatisme sont venus à bout de l'une des meilleures arées du monde, l'une des mieux équipées. À bout surtout de l'orgueil, de l'incompétence, de l'inconscience des politiques et des généraux. Encore quelques coup de feu, pour la gloire, et c'est fini.}}
{{Réf Livre|titre=Ma vie pour la France|auteur= Marcel Bigeard| éditeur=Editions du Rocher |année=2010 |page=179 |chapitre=XIV (« La bataille des cinq collines »)}}
 
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{{Réf Livre|titre=Ma vie pour la France|auteur= Marcel Bigeard| éditeur=Editions du Rocher |année=2010 |page=205 |chapitre=XVIII (« L'Algérie »)}}
 
{{Citation|De l'Indochine à l'Algérie, pas de changement: toujoursdestoujours officierdes officiers incompétents qui arrivent sur le terrain acecavec des idées toutes faites.}}
{{Réf Livre|titre=Ma vie pour la France|auteur= Marcel Bigeard| éditeur=Editions du Rocher |année=2010 |page=207 |chapitre=XVIII (« L'Algérie »)}}