« Germaine de Staël » : différence entre les versions

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{{Réf Livre|titre=Portraits de Femmes|auteur=[[Charles-Augustin Sainte-Beuve]]|éditeur=Gallimard|collection=Folio Classique|année=1998|année d'origine=1844|page=132|section=Madame de Staël|ISBN=2-07-039493-X}}
 
{{citation|citation=Il y a une inspiration antique dans cette figure de jeune femme qui s'élance pour parler à un peuple, le pied sur des décombres tout fumants. Il y a de plus une grande sagacité politique et une entente de la situation réelle, dans les conseils déjà mûrs qui lui échappent sous cet accent passionné. Témoin des succès audacieux du fanatisme, Mme de Staël le déclare la plus redoutable des forces humaines ; elle l'estime inévitable dans la lutte et nécessaire au triomphe en temps de révolution, mais elle le voudrait à présent circonscrire dans le cercle régulier qui s'est fait autour de lui. [Mai 1835]}}
{{Réf Livre|titre=Portraits de Femmes|auteur=[[Charles-Augustin Sainte-Beuve]]|éditeur=Gallimard|collection=Folio Classique|année=1998|année d'origine=1844|page=143|section=Madame de Staël|ISBN=2-07-039493-X}}
 
{{citation|citation=Il n'est pas en révolution de période plus heureuse, selon elle, c'est-à-dire plus à la merci des efforts et des sacrifices intelligents, que celle où le fanatisme s'applique à vouloir l'établissement d'un gouvernement dont on n'est plus séparé, si les esprits sages y consentent, par aucun nouveau malheur. [Mai 1835]}}
{{Réf Livre|titre=Portraits de Femmes|auteur=[[Charles-Augustin Sainte-Beuve]]|éditeur=Gallimard|collection=Folio Classique|année=1998|année d'origine=1844|page=143|section=Madame de Staël|ISBN=2-07-039493-X}}