« Luc de Clapiers, marquis de Vauvenargues » : différence entre les versions

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'''[[w:Luc_de_Clapiers,_marquis_de_Vauvenargues|Luc de Clapiers, marquis de Vauvenargues]]''', (6 août 1715 – 28 mai 1747) est un écrivain français, moraliste et essayiste.
 
== Citations propres à l'auteur ==
== Citation ==
{{citation|citation=La solitude est à l'esprit ce que la diète est au corps, mortelle lorsqu'elle est trop longue, quoique nécessaire.}}
{{Réf Livre|titre de la contribution=Réflexions et maximes
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== D'autres auteurs le concernant ==
{{citation|citation=Il a peu, ou plutôt il n'a pas le sentiment des beautés de la nature : dans la nature, il ne considère volontiers que l'homme et la société ; Vauvenargues portait en lui le besoin d'être un grand homme historiquement.}}
{{Réf Livre|titre=Les lumières et les salons — Anthologie établie et présentée par Pierre Berès|auteur=[[Charles-Augustin Sainte-Beuve]]|éditeur=Hermann (éditeurs des sciences et des arts)|collection=Collection savoir : lettres|année=1992|année d'origine=|page=163|partie=Vauvenargues|section=4 novembre 1850. ''Causeries du lundi'', t. III|ISBN=2-7056-6178-6}}
 
{{citation|citation=Il avait en horreur et en mépris la fatuité et la frivolité si en vogue à cette date, ce ton de légèreté et de persiflage à la mode, que Gresset a pris sur le fait dans ''le Méchant''. On ne voit pas qu'il ait été occupé des femmes dans les années où il écrit, et le peu qu'il en dit nous montre un homme revenu : ''Les femmes ne peuvent comprendre, dit-il, qu'il y ait des hommes désintéressés à leur égard''.}}
{{Réf Livre|titre=Les lumières et les salons — Anthologie établie et présentée par Pierre Berès|auteur=[[Charles-Augustin Sainte-Beuve]]|éditeur=Hermann (éditeurs des sciences et des arts)|collection=Collection savoir : lettres|année=1992|année d'origine=|page=164|partie=Vauvenargues|section=4 novembre 1850. ''Causeries du lundi'', t. III|ISBN=2-7056-6178-6}}
 
{{citation|citation=Vauvenargues, en opposition ouverte avec les illusions de son temps, disait encore : ''Jusqu'à ce qu'on rencontre le secret de rendre les esprits plus justes, tous les pas qu'on pourra faire dans la vérité n'empêcheront pas les hommes de raisonner faux''; et c'est ainsi, selon lui, ''que les grands hommes, en apprenant aux faibles à réfléchir, les ont mis sur la route de l'erreur''.}}
{{Réf Livre|titre=Les lumières et les salons — Anthologie établie et présentée par Pierre Berès|auteur=[[Charles-Augustin Sainte-Beuve]]|éditeur=Hermann (éditeurs des sciences et des arts)|collection=Collection savoir : lettres|année=1992|année d'origine=|page=164|partie=Vauvenargues|section=4 novembre 1850. ''Causeries du lundi'', t. III|ISBN=2-7056-6178-6}}
 
{{interprojet|w}}