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[[File:William Faulkner 1954 (3) (photo by Carl van Vechten).jpg|thumb|250px|1954 by [[w:Carl van Vechten|Carl Van Vechten]]]]
 
'''{{w|William Faulkner}}''', {{cat|romancier}} [[:Catégorie:Personnalité américaine|américain]] né le {{Date|15|septembre|1897}} et mort le {{Date|6|juillet|1962}}, reçut le [[:Catégorie:Lauréat du Prix Nobel de littérature|prix Nobel de littérature]] en 1949.
 
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=== ''Tandis que j'agonise'', 1930 ===
{{citation|citation=Les arbres ressemblent aux poulets quand ils ébouriffent leurs plumes dans la poussière fraîche, les jours de grande chaleur. Si je saute de la véranda, je tomberai là où le poisson se trouvait, le poisson tout coupé maintenant en morceaux de non-poisson.}}
{{Réf Livre|titre=Tandis que j'agonise|auteur=William Faulkner|éditeur=Gallimard|année=1966|page=64|année d'origine=1930|collection=Du monde entier|traducteur=Maurice-Edgar Coindreau}}
|auteur=William Faulkner
|éditeur=Gallimard
|année=1966
|page=64
|année d'origine=1930
|collection=Du monde entier
|traducteur=Maurice-Edgar Coindreau}}
 
{{citation|citation=Le soir, après la sortie de l'école, quand le dernier était parti avec son petit nez morveux, au lieu de rentrer à la maison, je descendais la colline jusqu'à la source où je pouvais trouver le calme et les haïr.}}
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|traducteur=Maurice-Edgar Coindreau}}
 
{{citation|citation=Je me rappelais que mon père avait coutume de dire que le but de la vie c'est de se préparer à rester mort très longtemps.}} {{Réf Livre|titre=Tandis que j'agonise|auteur=William Faulkner|éditeur=Gallimard|année=1966|page=183|année d'origine=1930|collection=Du monde entier|traducteur=Maurice-Edgar Coindreau}}
{{Réf Livre|titre=Tandis que j'agonise
|auteur=William Faulkner
|éditeur=Gallimard
|année=1966
|page=183
|année d'origine=1930
|collection=Du monde entier
|traducteur=Maurice-Edgar Coindreau}}
 
{{citation|citation=Lui aussi avait un mot. Il appelait ça l'amour. Mais il y avait longtemps que j'étais habituée aux mots. Je savais que ce mot était comme les autres, rien qu'une forme pour combler un vide.}}
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{{citation|citation=La grange était encore rouge, mais ce n'était plus une grange, maintenant. Elle était écroulée et le rouge montait en tourbillons. La grange s'en est allée, en tourbillons de petites choses rouges, vers le ciel et les étoiles. Et les étoiles ont reculé.}}
{{Réf Livre|titre=Tandis que j'agonise|auteur=William Faulkner|éditeur=Gallimard|année=1966|page=237|année d'origine=1930|collection=Du monde entier|traducteur=Maurice-Edgar Coindreau}}
|auteur=William Faulkner
|éditeur=Gallimard
|année=1966
|page=237
|année d'origine=1930
|collection=Du monde entier
|traducteur=Maurice-Edgar Coindreau}}
 
{{citation|citation=Des fois, je ne sais pas trop si on a le droit de dire qu'un homme est fou ou non. Des fois, je crois qu'il n'y a personne de complètement fou et personne de complètement sain tant que la majorité n'a pas décidé dans un sens ou dans l'autre. C'est pas tant la façon dont un homme agit que la façon dont la majorité le juge quand il agit ainsi.}}