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{{Réf Livre|titre=Les Filles du feu|auteur=Gérard de Nerval|éditeur=Maxi-Livres|collection=Maxi-Poche Classiques Français|année=1997|année d'origine=1834|page=121|partie=''Sylvie — Souvenir du valois''|section=V. Le village|ISBN=2-8771-4348-1}}
 
{{citation|citation=Et elle alla cherchant dans les armoires, dans la huche, trouvant du lait, du pain bis, du sucre, étalant sans trop de soin sur la table les assiettes et les plats de faïence émaillés émaillés de larges fleurs et de coqs au vif plumage. Une jatte en porcelaine de Creil, pleine de lait, où nageaient les fraises, devint le centre du service, et après avoir dépouillé le jardin de quelques poignées de cerises et de groseilles, elle disposa deux vases de fleurs aux deux bouts de la nappe. Mais la tante avait dit ces belles paroles : « Tout cela, ce n'est que du dessert. Il faut me laisser faire à présent. »}}
{{Réf Livre|titre=Les Filles du feu|auteur=Gérard de Nerval|éditeur=Maxi-Livres|collection=Maxi-Poche Classiques Français|année=1997|année d'origine=1834|page=122|partie=''Sylvie — Souvenir du valois''|section=VI. Othys|ISBN=2-8771-4348-1}}