« Charles-Augustin Sainte-Beuve » : différence entre les versions

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== L'oeuvre de Sainte-Beuve appréhendée à son tour par la critique ==
=== Giovanni Macchia, ''[[François-René de Chateaubriand|Chateaubriand]]'' — Europe n°775-776, 1993 ===
=== Préface de ''Portraits de Femmes'', 1998 ===
{{citation|citation=Après la première grande tentative d'interprétation proposée par Sainte-Beuve, dont la mesure se trouvait dans un jeu de reconnaissances et de repentirs, on vit s'esquisser un processus de mythification de l'écrivain, où la raison critique s'éclipsait tandis qu'étaient exaltés des motifs irrationnels, presque mystiques : le mystère d'une créativité qui loge dans une tournure, une phrase, une page, et qui de cette page se transmet à l'oeuvre et à l'homme qui l'a composée, de même qu'un brin d'herbe contient le miracle de l'entière création.}}
{{Réf Article|titre=L'homme de la mort — Mythification de l'écrivain|auteur=Giovanni Macchia|publication=Chateaubriand — Revue Littéraire Europe|numéro=775-776|page=10|date=Novembre-décembre 1993|ISSN=0014-2751}}
 
=== Gérald Antoine, Préface de ''Portraits de Femmes'', 1998 ===
{{citation|citation=La grâce peut épouser la force : Sainte-Beuve ne s'y risquera point. Elle peut épouser la délicatesse : c'est son alliance de prédilection.|précisions=Citation extraite d'une préface rédigée par Gérald Antoine en 1998}}
{{Réf Livre|titre=Portraits de Femmes|auteur=Sainte-Beuve|éditeur=Gallimard|collection=Folio Classique|année=1998|page=13|section=Un peintre qui « se mire » en ses modèles|chapitre=Préface conçue par Gérald Antoine|ISBN=2-07-039493-X}}