« Franz Schubert » : différence entre les versions

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=== [[Franz Schubert]], ''Journal'', 1824 ===
{{citation|citation=Il n'y a qu'un pas du plus sublime enthousiasme au ridicule, de même que de la plus profonde sagesse à la plus stupide bêtise.}}
{{Réf Livre|titre=Schubert raconté par ceux qui l'ont vu|auteur=[[Franz Schubert]], J.-G. Prod'homme|traducteur=J.-G. Prod'homme|éditeur=Stock|année=1997|page=229|ISBN=2-234-04692-0|année d'origine=1928}}
 
{{citation|citation=La douleur aiguise la raison et renforce le sentiment, tandis que la joie se soucie rarement de ''celle-là'' et amollit ''celui-ci'' ou le rend frivole.}}
{{Réf Livre|titre=Schubert raconté par ceux qui l'ont vu|auteur=[[Franz Schubert]], J.-G. Prod'homme|traducteur=J.-G. Prod'homme|éditeur=Stock|année=1997|page=229|ISBN=2-234-04692-0|année d'origine=1928}}
 
{{citation|citation=Personne qui comprenne la douleur d’autrui, et personne la joie d’autrui ! On croit toujours aller l’un ''vers'' l’autre et on va jamais que l’un ''à côté'' de l’autre. O douleur pour celui qui s’en rend compte !}}
{{Réf Livre|titre=Schubert raconté par ceux qui l'ont vu|auteur=[[Franz Schubert]], J.-G. Prod'homme|traducteur=J.-G. Prod'homme|éditeur=Stock|année=1997|page=229|ISBN=2-234-04692-0|année d'origine=1928}}