« André Pieyre de Mandiargues » : différence entre les versions
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{{Réf Livre|titre=Le Musée noir|auteur=André Pieyre de Mandiargues|éditeur=Gallimard|Collection=L'Imaginaire|année=1946|page=239|section=Le tombeau d'Aubrey Beardsley|ISBN=2-07-071990-1}}
{{citation|citation=L'un des derniers à entrer au bassin fut le vidame des Moulineaux, provoqué en combat singulier par Rhéa d'Antony qui mit son point d'honneur à ne le terrasser que d'oeillades, grâce au seul appui d'un miroir à main qu'elle faisait aller sans cesse au-dessus et à côté de son visage très pâle, pour en rabattre sur l'ennemi les expressions sévères avec
{{Réf Livre|titre=Le Musée noir|auteur=André Pieyre de Mandiargues|éditeur=Gallimard|Collection=L'Imaginaire|année=1946|page=240|section=Le tombeau d'Aubrey Beardsley|ISBN=2-07-071990-1}}
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