« Perfection » : différence entre les versions

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{{réf Livre|auteur=Charles Dantzig|titre=Dictionnaire égoïste de la littérature française|éditeur=Grasset|année=2005|page=646}}
 
== Médias ==
=== Françoise Barbaras, ''Une sociologie en puissance ?'', 2010 ===
=== Presse ===
{{citation|citation=<poem>En termes modernes, la puissance chez Spinoza renvoie au concept scientifique de ''travail'' ; elle a la dimension d'une ''énergie'', grandeur scalaire, et non d'une force, vecteur de changement, supposant à la fois un point d'application, la localisation d'une source et une direction.
==== Françoise Barbaras, ''Une sociologie en puissance ?'', 2010 ====
{{citation|citation=<poem>En termes modernes, la puissance chez [[Baruch Spinoza|Spinoza]] renvoie au concept scientifique de ''travail'' ; elle a la dimension d'une ''énergie'', grandeur scalaire, et non d'une force, vecteur de changement, supposant à la fois un point d'application, la localisation d'une source et une direction.
Ce concept spinoziste de «puissance» implique un bilan, l'idée d'une équivalence entre ce qui se dépense dans la cause et ce qui se gagne dans l'effet, entre les quantités de réalité, les «perfections» comme dit Spinoza, qui sont engagées dans une cause et dans un effet. La puissance est une grandeur conservative, une quantité de réalité (une «perfection») qui se conserve dans la liaison de la cause à l'effet, la composition réglée qui définit l'action.</poem>|précisions=Cette citation provient d'un dossier coordonné par Maxime Rovere concernant la philosophie spinozienne.}}
{{Réf Article|titre=Une sociologie en puissance ?
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|page=82}}
 
== Psychanalyse ==
=== [[Alberto Eiguer]], ''Psychanalyse du libertin'', 2010 ===
''' Libertinage, le plaisir et la joie '''
{{citation|citation=<poem>Pour [[Baruch Spinoza|Spinoza]] (1677), les affects constituent des éléments essentiels de l'être. Le désir émane de l'être intime, ''le conatus'', qui évolue en joie ou en tristesse [...].
Pour ce qui concerne la joie, elle s'oriente vers un état de béatitude, parce qu'elle tend à la perfection. L'être se vit exalté et renforcé dans son estime de soi. La tristesse par contre réduit l'extension de lui-même et de sa puissance d'agir ; le sujet essayera alors de s'éloigner de ce qu'il considère comme cause de ce déplaisir ou de le détruire.</poem>}}
{{Réf Livre|titre=Psychanalyse du libertin|auteur=[[Alberto Eiguer]]|éditeur=Dunot|collection=Psychismes|année=2010|page=65|partie=I. Libertinage, le plaisir et la joie|chapitre=Le libertinage épousant l'histoire|section=Joie et liberté|ISBN=978-2-10-054958-0}}
 
{{interprojet|w=perfection}}